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Mis à jour: 7 juin 2025
Il était corpulent, de taille moyenne, d'aspect un peu lourd. Son front bombé, ses petits yeux vifs, se joues rondes et creusées d'une fossette, son nez pointu aux narines vibrantes, une lèvre rasée, un collier de barbe qui grisonnait, me rappelèrent très vite un visage bien connu; mais il y avait dans ses traits quelque chose d'amollli, de lâche, de détendu. L'inconnu ressemblait certainement
Ou j'étais la victime d'une illusion, et en ce cas la raison la dissiperait, ou le phénomène était réel et j'en découvrirais la cause. Or je vis que la lampe que j'avais laissée allumée brillait d'un éclat singulier, comme si la flamme eût été excitée par un apport excessif d'oxygène. Aussi une vive odeur d'éther me saisit aux narines. C'étaient ces effluves qui me montaient au cerveau.
Et, lorsqu'elle fut tout au fond, Rougon l'entendit qui lui appliquait de gros baisers sur les narines. Ces baisers l'exaspéraient.
Le mousquetaire trouva un superbe cheval andalou, noir comme du jais, aux narines de feu, aux jambes fines et élégantes, qui prenait six ans. Il l'examina et le trouva sans défaut. On le lui fit mille livres. Peut-être l'eût-il eu pour moins; mais tandis que d'Artagnan discutait sur le prix avec le maquignon, Athos comptait les cent pistoles sur la table.
Le froid était sec, la neige grinçait sous les patins du sleigh et des narines des chevaux s'élevait un nuage de vapeur blanchâtre, qui tranchait sur les teintes bleues, projetées par le firmament, nacré de perles étincelantes. Quelle rue? dit Pierre, en franchissant la place Dalhousie. Rue de la Visitation. Quel numéro? Marche. Je t'avertirai quand je voudrai descendre.
Figurez-vous ce qu'il peut y avoir de plus rose et de plus blond, une aurore féerique d'été qui illumine brusquement un verger merveilleux plein de parfums, plein de chansons, des cheveux de soie qui ondulent, qui moussent en toupet de clownesse comme du champagne sur un front insoucieux, des yeux de chatte, langoureux, magnétiques, étranges où les prunelles semblent de pâles émeraudes, un nez moqueur aux palpitantes narines
Ces sauvages avaient le teint basané, les pommettes saillantes, le nez fortement épaté, les narines d'une largeur énorme, la chevelure laineuse. Ils ne savaient point cultiver la terre, mais ils élevaient des troupeaux et chassaient les animaux, qu'ils tuaient avec des flèches empoisonnées, et dont ils enlevaient la partie blessée avant de les manger. Leurs huttes, de forme ovale, étaient faites avec des pieux recourbés qu'ils couvraient de nattes ou de peaux. Il leur était impossible de s'y tenir debout, et ils y vivaient accroupis ou couchés. Ils reconnaissaient un être suprême, qu'ils appelaient Gounga Tekquoa (le dieu de tous les dieux), et auquel ils offraient des bestiaux en sacrifice. Ils regardaient la lune comme un Gounga inférieur et admettaient une divinité malfaisante, Kham-ouna, le génie du mal. Ils croyaient que les premiers parents, ayant offensé le grand Dieu, étaient punis dans leur postérité. Ils croyaient aussi, selon Kolben, que ces premiers parents s'appelaient Noh et Hingnoh; qu'ils étaient rentrés en Afrique par une petite lucarne, et avaient enseigné
«Je lui glisse dans la main les vingt pièces d'or; il prend un morceau de papier, l'enflamme au feu d'une allumette, le fait négligemment passer sous les narines du cadavre. « Hélas! lui dis-je, il n'y a aucun espoir? «Il me regarda d'un air étonné: « Hélas! cher monsieur, aucun. La mort remonte déj
Et elle le regarda. Le visage pâle du jeune homme lui sembla encore plus pâle; ses paupières s'étaient baissées, ses narines vibraient, ses lèvres bien dessinées, fortes et rouges,
Et l'arôme de tout cela lui apports l'odeur salée de l'Océan, la fraîcheur des fontaines, le grand parfum des bois. Il dilate ses narines tant qu'il peut; il en bave; il se dit qu'il en a pour un an, pour dix ans, pour sa vie entière!
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