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Mis à jour: 4 mai 2025
C'était la bravoure, et non l'argent, qui faisait anciennement parvenir aux premiers emplois de l'armée. On n'achetait point l'honneur de se sacrifier pour la patrie; mais la soif du pillage mettait les armes
Et Offenburger n'achetait pas un cheval et ne faisait pas une commande au sellier sans l'agrément du marquis. C'était pour Offenburger que d'Ayglars se montrait au Tattersall. C'était pour lui qu'il rédigeait une façon de code du cérémonial que le banquier étudiait, potassait comme un élève qui veut passer sans faute son baccalauréat. Le marquis était, pour la question hippique, chez Offenburger, ce que Saki-Mayer était pour les bibelots. Il s'occupait des pur-sang comme le revendeur juif s'occupait des antiquailles. Ce qui faisait dire
S'ils empêchèrent cela, rien ne put empêcher une révolution très-réelle, un mouvement immense d'activité et d'industrie. Ce qu'un chroniqueur de l'an Mille a dit: «La terre changea de vêtement,» on put encore le dire. Depuis vingt ans, la guerre et la misère ayant tout suspendu, on n'achetait plus, on ne vendait plus, on ne fabriquait plus. Tout délabré, et misérable.
La question la plus importante débattue dans le mémoire sur le commerce avec l'Angleterre était celle-ci: Le temps où les Anglais enlevaient nos denrées en échange de leurs draps était-il plus ou moins avantageux pour la France, que celui où, grâce au produit des manufactures nationales, elle n'achetait pas de draps aux étrangers, mais où elle avait cessé de leur vendre les produits de son sol?
Le père Grandet prend beaucoup de merrain, il y aura du vin cette année. Monsieur Grandet n'achetait jamais ni viande ni pain. Ses fermiers lui apportaient par semaine une provision suffisante de chapons, de poulets, d'oeufs, de beurre et de blé de rente. Il possédait un moulin dont le locataire devait, en sus du bail, venir chercher une certaine quantité de grains et lui en rapporter le son et la farine. La grande Nanon, son unique servante, quoiqu'elle ne fût plus jeune, boulangeait elle-même tous les samedis le pain de la maison. Monsieur Grandet s'était arrangé avec les maraîchers, ses locataires, pour qu'ils le fournissent de légumes. Quant aux fruits, il en récoltait une telle quantité qu'il en faisait vendre une grande partie au marché. Son bois de chauffage était coupé dans ses haies ou pris dans les vieilles truisses
M. Samozane fumait de moins bons cigares; ces dames usaient leurs vieux vêtements. Gui n'achetait plus de romans pour, le dimanche, se reposer des labeurs de la semaine; il n'allait plus aux courses ni au théâtre. Mais, Odette ne s'apercevait de rien, ou, si parfois un changement la frappait, elle pensait, indifférente: Je conçois qu'on ne s'amuse pas en l'absence de Robert.
Un soir qu'il faisait son cent de piquet avec le vicaire de Saint-Merry... j'entends l'ancien vicaire, car il avait epouse la femme du citoyen Lancelot, marchand de bas et chaussons a la Barillerie... Ils avaient divorce, les Lancelot, s'entend... Et Lancelot faisait la cour, en ce temps-la, a la cousine de M. Fouche, qui n'achetait pas encore des terres d'emigre... Eh bien! on entendit marcher dans le corridor, ou il n'y avait personne, comme de juste, et Mathieu Luneau, le brigadier de la garde de Paris, qui se portait comme pere et mere, mourut subitement dans la huitaine.
D'ordinaire, elle disait qu'on trouvait d'excellentes occasions, dans ces ventes de charité; ces pauvres dames ne savaient pas, ne connaissaient pas toujours leurs marchandises. Jamais, d'ailleurs, elle n'achetait aux vendeuses de sa connaissance; celles-l
Le soir, après avoir fait ses comptes, sitôt qu'il était dans sa couverture, il y pensait. Finalement, hésitant, il n'achetait rien; il se contentait pendant le jour, après le déjeuner, de réparer les trous nouveaux de ses effets par des reprises savantes, qu'il cousait péniblement, en tirant la langue pour mieux faire, comme un enfant
Du reste, ayant toujours eu soin de prendre un exercice modéré, Fritz se portait de mieux en mieux; sa fortune s'augmentait raisonnablement, parce qu'il n'achetait pas d'actions et ne voulait pas s'enrichir d'un seul coup.
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