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Mis à jour: 7 juin 2025


Au dessert, et comme les moines, après avoir dit les Grâces, se levaient pour se retirer, le supérieur leur fit signe de se rasseoir, et l'on apporta une bouteille de malvoisie de Lipari: c'était bien le plus admirable vin que j'eusse jamais bu de ma vie; il se récoltait et se fabriquait au couvent même.

Quelques émissaires, habilement répandus dans la foule, faisaient ressortir cette ressemblance du fils avec le père; et dans ces flots de populace superstitieuse bouillonnait encore l'écume du fanatisme religieux, le nouveau prétendant récoltait déj

La preuve, Poucette vécut toute seule tout l'été dans la grande forêt. Elle se tressa un lit de brins d'herbe et l'accrocha sous une grande feuille de patience, en sorte qu'il ne pouvait pleuvoir sur elle; elle récoltait le pollen des fleurs et s'en nourrissait, et elle buvait la rosée qui était tous les matins sur les feuilles; ainsi passèrent l'été et l'automne, mais vint alors l'hiver, le froid et long hiver. Tous les oiseaux qui lui avaient chanté de belles chansons s'en allèrent, les arbres et les fleurs se fanèrent, la grande feuille de patience sous laquelle elle avait habité se recroquevilla et devint un pédoncule jaune fané, et elle eut terriblement froid, car ses vêtements étaient déchirés, et elle-même était si petite et si frêle, la pauvre Poucette, qu'elle devait mourir de froid. Il se mit

Et personne n'eût touché un sou, lui récoltait. Ce n'est pas qu'il procédât par la rigueur, bien au contraire. Il réussissait par la patience, la douceur et la politesse, mais aussi par une ténacité infatigable et désespérante.

Derrière la maison s'étendait un parterre, cultivé par la bonne dame Catherine. Après le parterre, c'était un verger, chaque année l'on récoltait des fruits superbes; et au-del

L'aristocratie, depuis des siècles, avait tenu les populations rurales dans l'ignorance et la misère; elle avait semé la haine dans leur coeur, elle récoltait la dévastation, le meurtre. Ces hommes, endurcis aux travaux ingrats de la terre, ne connaissaient qu'une loi, la loi du talion; c'est celle de toutes les races barbares. Ils rendaient aux châteaux oeil pour oeil, dent pour dent. Les pierres étaient ici complices des abus qui s'y réfugiaient. On se disait que, le nid détruit, le vautour ne reviendrait plus. Ce n'est pas que j'approuve ces ravages; la destruction est un supplice trop doux pour les monuments de la tyrannie; il faut les condamner

Le père Grandet prend beaucoup de merrain, il y aura du vin cette année. Monsieur Grandet n'achetait jamais ni viande ni pain. Ses fermiers lui apportaient par semaine une provision suffisante de chapons, de poulets, d'oeufs, de beurre et de blé de rente. Il possédait un moulin dont le locataire devait, en sus du bail, venir chercher une certaine quantité de grains et lui en rapporter le son et la farine. La grande Nanon, son unique servante, quoiqu'elle ne fût plus jeune, boulangeait elle-même tous les samedis le pain de la maison. Monsieur Grandet s'était arrangé avec les maraîchers, ses locataires, pour qu'ils le fournissent de légumes. Quant aux fruits, il en récoltait une telle quantité qu'il en faisait vendre une grande partie au marché. Son bois de chauffage était coupé dans ses haies ou pris dans les vieilles truisses

Elle semait du froment deux années de suite dans son champ, qui, la troisième, rapportait alternativement du trèfle et des pommes de terre. Elle récoltait assez de blé pour se nourrir pendant les trois ans. Mais si l'année était mauvaise, la mère Nannette vendait la pièce de toile qu'elle avait fait faire avec le chanvre amassé et filé pendant quatre ans. L'argent qu'elle en retirait lui servait

Durant ses haltes dans le monde des théâtres, il récoltait une riche moisson de notes et d'observations sur les comédiens, mettant en grange le grain fécond d'où devaient sortir plus tard le Delobelle de Fromont jeune et Risler aîné et les judicieuses appréciations qu'on peut relire dans la collection de ses feuilletons dramatiques de l'Officiel,

On leur proposa de passer au jardin. Des rosiers y poussaient pêle-mêle avec les choux et toutes sortes de légumes. Les roses n'avaient pas encore fleuri. Mais les pêchers et les abricotiers étaient en fleur, roses et blancs. Au vent frais qui les secouait, les pétales, comme une neige parfumée, tombaient sur André et l'enfant. Mme de Mercy se taisait. La nourrice récoltait sur la haie des pièces de lessive qui avaient séché; au bout d'une heure, Jacques ayant pleuré, elle lui donna

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