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Mis à jour: 26 mai 2025


Muratori, Annal d'Ital., an 1303. Quelque temps après , les exilés firent une tentative pour rentrer dans leur patrie

»Grimm, toutefois, est un excellent critique et historien littéraire. Sa Correspondance forme les annales littéraires de la France dans le tems il a vécu, et comprend en sus beaucoup de la politique et encore plus du genre de vie de la nation française. Il est aussi précieux et bien plus amusant que Muratori ou Tiraboschi, j'ai presque dit que Ginguené, mais nous devons en rester l

C'est au savant et infatigable Muratori que nous devons la publication de ces précieux originaux. Ce sont des notes sèches mais naïves, fort incomplètes pour notre curiosité, mais en tout d'excellents guides.

Dans le grand recueil de Muratori, Script. rer. Ital., t. I, partie II, p. 151.

Ce n'est du moins pas l'auteur que l'on doit accuser de ce qu'on y peut trouver d'inexact. Son seul tort est d'avoir manqué de critique dans un siècle la critique n'était pas connue; ce qu'on ne peut pas plus lui reprocher que l'inélégance de son style. Voyez-en les titres dans les Scrittori ital. du comte Mazzuchelli, t. I, partie II. Muratori l'a inséré dans sa grande collection.

C'est ainsi que l'a entendu le judicieux Muratori, qui s'explique fort au long sur ce vers de Boileau , et qui est loin de lui en faire un crime. Le marquis Orsi, dans son ingénieuse défense des poëtes italiens contre le P. Bouhours , aime mieux croire que le mot de notre satirique n'est qu'une plaisanterie; il se trompe, ou du moins si le mot est plaisant, c'est très-sérieusement que Despréaux l'a dit. Il remarque avec plus de raison que les Français ne doivent pas s'attribuer l'invention de ce mot, et que le cavalier Salviati l'avait employé avant eux . Carlo Gozzi, qui traduisit dans le dernier siècle, en vers libres, toutes les satires de Boileau, dit dans sa note sur ce vers, que le poëte français n'a point prétendu mépriser le Tasse, mais se ranger

Script. Rer. ital. de Muratori, vol. VI, part. Epist. l.

Voy. Muratori, Antich. ital., Dissertaz. XXXII, id. della perfetta poësia, lib. I, c. 3. Tiraboschi, t. III, liv. IV, c. 4, etc.

Cicéron la mentionne, de Legib., lib. Cord. Voyez Quœstiones romanæ, etc. ap. Græv. Antiq. roman., tome V, page 942. Voyez aussi Muratori, nov.

C'est l'architecture qu'on appelle gothique. Muratori (Dissert. 23 et 24) et d'autres auteurs ne veulent point qu'elle appartienne aux Goths; et il n'est pas vraisemblable, en effet, que ces peuples, qui ignoraient presque entièrement les arts, fussent aussi avancés en architecture. Quelques-uns l'attribuent aux Sarrazins; d'autres lui donnent, avec plus de vraisemblance, pour unique origine la dépravation progressive du goût dans les arts. Maffei (Verona Illust., Ire. part., liv. XI) avoue que, sous le règne des Goths, l'architecture conserva autant de grandeur, de magnificence et de solidité qu'elle en avait eu sous les empereurs Romains; il ajoute qu'il y a en Italie beaucoup d'édifices antérieurs

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