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Mis à jour: 20 juillet 2025
Un rocher se dresser sur l'onde 6217 Qui tout autour mugit et gronde. Les flots tumultueux, roulants, Incessamment battent ses flancs Et quelquefois si haut bondissent Que tout en mer l'ensevelissent. Quelquefois, secouant le flot Qui l'envahit et qui bientôt Retombe et vaincu se retire, Fier il se redresse et respire. Mais toujours il change d'aspect, Toujours se déguise et revêt Soudain une nouvelle forme, Toujours se mue et se transforme. Sitôt qu'il reparaît sur l'eau, Les fleurs de pointer aussitôt Ainsi qu'étoiles scintillantes Emmi les herbes verdoyantes, Zéphir en mer de chevaucher. Mais bientôt Bise vient faucher Les fleurettes et la verdure Sous le tranchant de sa froidure, Et les fleurs toutes de mourir Au moment de s'épanouir. Ce roc porte un bois redoutable Et d'une essence inexplicable. Tel arbre étend ses rameaux verts, L'autre ses bras maigres et clairs; L'un est stérile et rien ne porte, L'autre a des fruits de toute sorte. Quand l'un veut se prendre
Le soleil, sous un épais nuage, Dérobe les reflets de ses rayons dorés; Au loin le vent mugit, solennel en sa rage, Et soulève la neige en tourbillons serrés. Mais que vois-je, soudain,
Et il disparut dans son bûcher. Il y resta bien cinq minutes; puis il revint avec une figure consternée. Il levait les bras: J'sais pas oùs qu'il est, je l'trouve pu; j'suis pourtant sûr que je l'avais. Alors, faisant de ses mains un porte-voix, il mugit de nouveau: «Mélie-e-e!» Du fond de la cour sa femme répondit: «Qué qu'y a? Ousqu'il est saint Blanc! Je l'trouve pu dans l'bûcher.»
Il faudra qu'oubliant tes peines Pour réjouir l'aimable Enfant, Tu bénisses tes nobles chaînes, Et que tu chantes doucement... Le Dieu dont la toute-puissance Arrête le flot qui mugit, Empruntant les traits de l'enfance, Est devenu faible et petit. Le Verbe, Parole du Père, Qui, pour toi, s'exile ici-bas, Mon doux Agneau, ton petit Frère, Enfant, ne te parlera pas!
Tenez, voici le vent, qui est la plus grande force de la nature, qui renverse les hommes, abat les édifices, déracine les arbres, soulève la mer en montagnes d'eau, détruit les falaises, et jette aux brisants les grands navires, le vent qui tue, qui siffle, qui gémit, qui mugit, l'avez-vous vu, et pouvez-vous le voir? Il existe, pourtant.»
Cela ne me surprend point, dit M. Garland; c'est la conséquence naturelle des événements que vous venez de retracer; de ces temps malheureux, de ce voyage pénible, et, par-dessus tout, de cette nuit affreuse. Une nuit affreuse, en vérité!... Entendez-vous comme le vent mugit!...»
DOGBERRY. Alors allez-vous en paisiblement et laissez l'enfant l'éveiller lui-même par ses cris; car la brebis qui n'entend pas son agneau quand il mugit ne répondra pas aux bêlements du veau. VERGES. C'est la vérité. DOGBERRY. Voil
En été quelquefois quand le soleil de juin, Par l'ardeur de ses feux dessèche les prairies; Que les fleurs des jardins, que les feuilles flétries Tombent, une par une, au pied de l'arbrisseau; Qu'on n'entend plus couler le limpide ruisseau; A l'horizon de flamme un point sombre, un nuage, Portant dans son flanc noir le tonnerre et l'orage, S'élève tout coup, grandit, grandit toujours. Le soleil effrayé semble hâter son cours: Il règne dans les airs un lugubre silence: Le ciel est noir; l'oiseau vers ses petits s'élance; Et la cigale chante et l'air est étouffant; Le tonnerre mugit; le nuage se fend; Le ciel vomit la flamme: et la pluie et la grêle Sous leurs fouets crépitants brisent l'arbuste frêle, Et le carreau de vitre, et les fleurs et les blés. Dans un des coins du clos un moment rassemblés, Les bestiaux craintifs laissent l
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