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Mis à jour: 17 mai 2025
Tu l'as dit, don Clemente, répondit le duc, les dieux nous aiment; ainsi que Cléobis et Biton, nous mourrons ensemble! Je te bénis, frère de mon coeur! je te bénis, Clemente!
Dieu fera de moi ce qu'il voudra, mais ou nous vivrons ou nous mourrons ensemble! Et elle éclata en sanglots.
Mauvais sommes et desservi avons Mort plus que vie et si cognoissons bien Que nous mourrons et l'eure ne savons Ne de nous jours le nombre aussi combien Et toutesfois pour nous mouvoir a bien Qui a tout mal est tousjours different Dieu nous conseille utinam saperent
Mourir... répéta-t-il, quand nous sommes tous deux si jeunes! quant l'amour nous gardait encore tant de jouissances! Non, nous ne mourrons pas! Je veux vivre, moi, et je veux qu'elle vive aussi. Allons, plus de ces faiblesses indignes d'un homme te voyons
Mais nous ne mourrons pas, continua-t-elle, haussant la voix, avec un rire de femme victorieuse; nous vivrons pour nous aimer... C'est un arbre de vie, un arbre sous lequel nous serons plus forts, plus sains, plus parfaits. Tu verras, tout nous deviendra aisé. Tu pourras me prendre, ainsi que tu rêvais de le faire, si étroitement, que pas un bout de mon corps ne sera hors de toi.
C'est un coup de dés, il s'agit de savoir si nous mourrons misérables comme des mendiants ou si nous vivrons plus riches que des rois! Le billet de Valentine Pendant cela, Mme veuve Samayoux, prenant
Vous avez raison, Remy, dit le comte: demeurez ici avec madame; moi, je vais gagner la jetée, et je viendrai vous rapporter des nouvelles. Non, monsieur, dit la dame, vous ne vous exposerez pas seul: nous nous sommes sauvés tous ensemble, nous mourrons tous ensemble. Remy, votre bras, je suis prête.
Seigneur, agenouillez-vous avec moi: Lavinia, agenouille-toi; et toi, jeune enfant, l'espérance de l'Hector romain, agenouille-toi aussi et jurez tous avec moi; comme autrefois Junius Brutus jura, pour le viol de Lucrèce, avec l'époux désolé et le père de cette dame vertueuse et déshonorée, jurez que nous poursuivrons avec prudence une vengeance mortelle sur ces traîtres Goths, et que nous verrons couler leur sang, ou que nous mourrons de cet affront.
Unissons-les, amis; les fils qui vont nous suivre De ces fleurs n’ornent plus leurs fronts: Aucun ne redira le son qui nous enivre, Quand nous, fidèles, nous mourrons... Mais peut-elle mourir la brise fraîche et douce? L’aquilon l’emporte en son vol, Et puis elle revient légère sur la mousse Meurt-il le chant du rossignol?
Mot du Jour
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