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Mis à jour: 27 juillet 2025


Cette rivière, c'était la Moskowa, cette ville, c'était Moscou, cette enceinte fortifiée, c'était le Kremlin, et l'officier des chasseurs de la garde, qui, les bras croisés, le front songeur, écoutait vaguement le bruit jeté par le Palais-Neuf sur la vieille cité moscovite, c'était le czar.

LXXVIII. De Catherine, veux-je dire. Cette lettre avait été écrite par la main impériale elle-même, aussi conservait-elle un reste parfumé de pommade moscovite. Catherine l'avait écrite en reine et en femme d'esprit, double position excellente pour enfanter un billet. L'épître était charmante, elle félicitait don Juan sur son ambassade, sur ses grâces, sur sa capacité elle lui rappelait mystérieusement ses droits

Cet avis, accompagné de paroles obligeantes, avait de quoi rassurer les Autrichiens sur la portée réelle de l'intervention moscovite; il ne leur suffit point. Puisque les Russes se fixaient une limite vers l'Occident, ne pourrait-on les amener

En terminant l'examen de ces orgueilleuses dépouilles du temps, je me suis rappelé, comme par inspiration, un passage de Montaigne que je vous copie, pour compléter par un contraste curieux cette description des magnificences du trésor moscovite. Vous savez que je ne voyage jamais sans Montaigne: «Le duc de Moscovie debvoit anciennement cette révérence aux Tartares quand ils envoyoient vers lui des ambassadeurs qu'il leur alloit au-devant

Tourguéneff c'est incontestable un causeur hors ligne, mais un écrivain au-dessous de sa réputation. Je ne lui ferai pas l'injure de demander, qu'on le juge d'après son roman des EAUX PRINTANIÈRES! Oui, c'est un paysagiste, un peintre de dessous de bois très remarquable, mais un peintre d'humanité, petit, manquant de la bravoure de l'observation. En effet, il n'y a pas dans son œuvre la rudesse primitive de son pays, la rudesse moscovite, la rudesse cosaque, et ses compatriotes dans ses livres, m'ont l'air de Russes, peints par un Russe qui aurait passé la fin de sa vie,

Oui ... Sélim ... de l'argent russe, dont j'ai besoin pour mon passage sur le territoire moscovite. Mais, mon oncle, nous direz-vous enfin?... s'écria Ahmet, auquel se joignit la jeune fille. A quel taux le change aujourd'hui? demanda le seigneur Kéraban. Trois et demi pour cent, répondit Sélim, chez qui le banquier reparut un instant. Quoi! trois et demi?

Quoi qu'il en soit, l'orgueil du noble Moscovite donne parfaitement l'idée de la singulière combinaison dont est sortie la société russe actuelle: ce composé monstrueux des minuties de Bysance et de la férocité de la horde, cette lutte de l'étiquette du Bas-Empire et des vertus sauvages de l'Asie a produit le prodigieux

Ce qui se sentait particulièrement dans sa démarche, dans sa physionomie, dans toute sa personne, et ce que le czar reconnut sans peine, c'est qu'il était «un exécuteur d'ordres». Il possédait donc l'une des qualités les plus recommandables en Russie, suivant l'observation du célèbre romancier Tourguèneff, qualité qui conduit aux plus hautes positions de l'empire moscovite.

Mais le riche Moscovite n'a pas gardé les traditions pieuses et les saints usages; il n'aime plus en Moscou la ville religieuse, il ne se laisse pas pénétrer par son activité dévote. Il a les yeux fixés sur l'étranger, pour l'imiter ou pour le combattre, et n'a plus d'amour pour la sainte Mère. Cependant cette classe est forte.

Sous les formes les plus courtoises, ne se trouva autre chose qu'un refus. Le diplomate moscovite l'enveloppa, il est vrai, de paroles doucereuses. Le roi pouvait juger, par l'intérêt si vif que l'Empereur avait toujours pris

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