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Mis à jour: 18 juillet 2025
Ils continueront l'étude des langues latine et françoise. On leur expliquera les Poëtes, les Historiens, les Moralistes, et on leur fera connoître les règles de la versification latine et françoise.
Je ne craindrai pas de dire que la doctrine de l'intérêt bien entendu me semble, de toutes les théories philosophiques, la mieux appropriée aux besoins des hommes de notre temps, et que j'y vois la plus puissante garantie qui leur reste contre eux-mêmes. C'est donc principalement vers elle que l'esprit des moralistes de nos jours doit se tourner.
Les moralistes doivent seulement signaler la route qui conduit au dernier terme de l'erreur: tout le monde est frappé des inconvénients de l'excès, et personne ne pouvant se persuader qu'on en deviendra capable, l'on se regarde toujours comme étranger aux tableaux qu'on pourrait lire.
Vous entendez parfois des moralistes vous dire qu'il ne faut rien accorder
«Nos imaginations confinent aux transports de la folie! te diront les moralistes et les symétriques austères. En les prenant au mot, qu'y aurait-il l
Il est de son temps encore par l'inintelligence du grand art. Il méprise les poètes, épiques, lyriques, élégiaques, pêle-mêle, surtout les lyriques , ne faisant grâce qu'aux poètes dramatiques, ces «maîtres des passions» parce que nos poètes dramatiques sont surtout des moralistes et des orateurs. Les quatre plus grands poètes sont pour lui Platon, Malebranche, Montaigne et Shaftesbury, opinion où il y a du vrai, et beaucoup d'inattendu. Il faut entendre sans doute que les plus grands poètes,
Ce n'était pas tout... dans l'accès auquel Jacques Ferrand était alors en proie, Polidori remarquait avec inquiétude certains pronostics d'une des plus effrayantes maladies qui aient jamais épouvanté l'humanité, et dont Paulus et Arétée, aussi grands observateurs que grands moralistes, ont si admirablement tracé le foudroyant tableau. Tout
«Je laisse aux moralistes et aux politiques qui devroient partir des mêmes principes, et qui souvent sont diamétralement opposés,
Je suis docteur en théologie, maître ès arts; j'ai assez étudié les moralistes grecs et latins, dont les maximes ont fortifié mon âme dans les vicissitudes de ma vie, et j'ai particulièrement appliqué Boèce, comme un topique, aux maux de l'existence. Et voici près de moi Jacobus Tournebroche, mon élève, qui sait par coeur les sentences de Publius Syrus.
Je pense donc que les chefs de ces sociétés nouvelles auraient tort de vouloir y endormir les citoyens dans un bonheur trop uni et trop paisible, et qu'il est bon qu'il leur donne quelquefois de difficiles et de périlleuses affaires, afin d'y élever l'ambition, et de lui ouvrir un théâtre. Les moralistes se plaignent sans cesse que le vice favori de notre époque, est l'orgueil.
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