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Mis à jour: 25 octobre 2025
Au début des hostilités engagées entre le Brésil, Buenos-Ayres, Montevideo et le Paraguay, la presque totalité de la presse européenne se contentait d'enregistrer les hauts faits des armées alliées, dont le récit lui était transmis par des correspondances peu scrupuleuses. Quant
Le traité du 29 octobre 1840, en plaçant l'indépendance de Montevideo sous la protection directe de la France, donnait la première de ces garanties; la seconde ne pouvait exister qu'avec la troisième, et celle-ci, momentanément acquise, après la victoire d'Obligado, n'a été réellement obtenue qu'un an après la chute de Rosas.
Précisons d'abord le rôle de Buenos-Ayres. En signalant dans un précédent chapitre la revendication de Montevideo, alors occupé par les troupes de Jean VI, nous avons indiqué les motifs de cette revendication.
Dans tous les cas, ni Buenos-Ayres, ni Montevideo n'avaient
Pendant que cette affirmation éhontée d'une prochaine solution pacifique parvenait au maréchal Lopez, le ministre Saraïva se montrait intraitable envers le gouvernement de Montevideo, et précipitait la rupture qu'il était chargé d'amener. Il annonça
Soutenu par Rosas, comme plus tard Florès le sera par Mitre, Oribe assiége Montevideo. Le cabinet de San-Christoval profite des embarras de l'Etat Oriental pour lui offrir ses services, contre l'ennemi commun, c'est-
Quelle est donc cette oeuvre? C'est l'établissement de l'équilibre platéen avec ses trois garanties essentielles: l'indépendance de Montevideo, celle du Paraguay et la liberté des fleuves.
Le gouvernement présent de la république orientale est, comme la plupart de ceux de l'Amérique espagnole, un gouvernement de fait, produit d'une guerre civile. Depuis la fin de 1838, il est entre les mains du général Fructuoso Rivera, militaire heureux, homme habile et politique rusé, esprit fécond en ressources, débonnaire et de moeurs faciles, mais administrateur insouciant de la fortune publique, qu'il dilapide et laisse impunément dilapider. Ambitieux et remuant, le général Rivera semble n'aimer du pouvoir que les jouissances vulgaires; il travaille peu; il n'a ni les qualités ni les défauts des grands caractères: sa conduite paraît mesquine en toutes choses, parce que l'intrigue est l'âme de sa politique. S'il faut en croire les dernières nouvelles qui nous sont arrivées de Montevideo, la puissance du général Rivera est fortement menacée. Son compétiteur, le général Oribe, dont le parti est composé, de tout ce qu'il y a de riche et d'élevé dans le pays, aurait, dit-on, remporté de grands avantages. Montevideo serait en alarme; on y aurait donné la liberté
Ces détails ont été fournis par les feuilles platéennes et, entre autres, par la Republica de Buenos-Ayres et par et Siglo de Montevideo. D'après ces journaux, le succès de la journée a été principalement déterminé par une manoeuvre des Paraguayens incorporés, après la capitulation d'Uruguayana, dans les troupes confédérées.
La nuit était froide, le vent parlait comme notre mistral. À cinq heures et demie, j'allume une bougie et reprends mon travail. À huit heures sonne le café, et peu après on présente la note: deux pesos et demi, environ 14 fr. À onze heures, déjeuner et ensuite départ. L'Uruguay et la Plata. Montevideo. La République orientale ou de l'Uruguay. Population. Surface. Produits. Exportation.
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