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Mis à jour: 2 juin 2025


Proh pudor! quale monstrum. Cependant on parlait de la restauration de la liberté romaine par le tribun Rienzi. Pétrarque ne douta point de la réunion prochaine de l'Italie, du monde, sous le bon état. Il chanta d'avance les vertus du libérateur et la gloire de la nouvelle Rome. Cependant Rienzi menaçait de mort les amis de Pétrarque, les Colonna.

A JEAN ZISKA, Grégoire son oncle. Rien n'est plus profondément vrai que cette épitaphe. Aeneas Sylvius l'a justifiée en qualifiant Ziska de monstrum detestabile, crudele, horrendum, importunum, etc. Et il y a aujourd'hui des personnes qui demandent si Ziska a jamais existé! C'est, ainsi qu'on écrit et qu'on connaît par conséquent l'histoire.

Il ne l'aimait pas?... Nous allons citer ses propres paroles au sujet d'Idoménée: «Mozart... Raphael!... Quel miracle de beauté qu'une telle musique! comme c'est pur! quel parfum d'antiquité! C'est grec, c'est incontestablement grec, comme l'Iphigénie de Gluck, et la ressemblance du style de ces deux maîtres est telle dans ces deux ouvrages qu'il est vraiment impossible de retrouver le trait individuel qui pourrait les faire distinguer ...» En fouillant dans la collection du Journal des Débats, nous rencontrerions bien d'autres témoignages de la fausseté des sentiments attribués au réformateur musical que M. Ingres et bien d'autres considéraient comme un monstre: immanissimum et foedissimum monstrum. Une fois pour toutes, établissons que Berlioz ne prétendait nullement au rôle que certains compositeurs ont tenu depuis. Il ne se vantait pas d'être le seul de son espèce et ne croyait point qu'avant lui, la musique fût une science ignorée, ténébreuse, inculte; loin de renier les anciens, il se prosternait avec vénération devant les dieux de la symphonie, il brûlait devant leurs autels l'encens le plus pur. Son unique prétention (et elle nous paraît justifiée) était de continuer la tradition musicale en l'agrandissant, en l'améliorant, grâce aux ressources modernes: «J'ai pris la musique Beethoven l'a laissée», disait-il avec quelque orgueil

29 novembre. Aujourd'hui tombe chez moi un jeune ami qui m'écrivait il y a quelque temps, qu'il avait été très éprouvé. Il me dit qu'il a passé par de dures choses, qu'il avait été au moment de se marier avec une charmante jeune personne de la société, dont il était très épris, qu'il a rompre parce que cette charmante jeune fille cachait le monstrum horrendum. Ça avait été, ajoute-t-il, une tentative d'attraper le bonheur domestique, et la chose relative

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l'égaierait

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