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Mis à jour: 13 mai 2025
Cependant comme il trouvait monotones et maigres les baisers conjugaux, et comme il avait en poche de quoi s'en offrir de plus gros, il s'en paya bientôt
Les vieux cèdres, noirâtres et poudreux, semblent des momies d'arbres, tandis que le vert des saules monotones commence
Notre guide nous précédait, couché de côté sur son cheval, chantant une chanson morlaque, aux monotones modulations, et dont je suivais les paroles avec un singulier intérêt. Le chanteur était en même temps le poëte. Quant
Cependant, aux reflets des traînées d'écume que roulait la Colombie, Merellum put voir qu'elle était entre les mains du plus petit de leurs pagayeurs. La nuit était douce, quoique le ciel fut couvert; mais l'air était plein de monotones sonorités produites par le formidable concert auquel se livrait,
Sa mère l'appelait très doucement, en lui posant une main sur l'épaule. Elle se leva et alla s'agenouiller avec les autres pour la prière. Pendant dix minutes, les voix se répondirent, étouffées et monotones, murmurant les paroles sacrées. Quand ils furent arrivés
les longues heures monotones, alors que le midi, s'amourachant d'une rose de Damas, oublie de reprendre sa marche vers l'Ouest, si bien que la lune, pâle usurpatrice, élargissant sa tache, change son mince croissant en un disque d'argent, et réprimande son char paresseux, que de fois, dans l'herbe fraîche et drue,
Aussi, au sortir de ce grand orage de passion qui, tout d'un coup, l'avait enveloppée, ressentait-elle un étonnement immense mêlé d'appréhensions inexpliquées et de vagues terreurs. Rien de changé, en apparence, autour d'elle. Père, mère, frère, amis, gravitaient mécaniquement dans leur orbe accoutumé. Les mêmes faits quotidiens se répétaient monotones et réguliers comme le tic-tac de la pendule.
Parmi ces billets un peu monotones, une dernière lettre de Musset, qui est précieuse. Le voil
Après des minutes de silence, l'ensemble des voix s'élevait et les versets des psaumes s'égrenaient, monotones et singulièrement impressionnants, dans la nuit religieuse.
Suite de mon journal. 8 janvier 1896. Les journées, les nuits s'écoulent terribles, monotones, d'une longueur qui n'en finit pas. Le jour, j'attends avec impatience la nuit, espérant goûter quelque repos dans le sommeil; la nuit, j'attends, avec non moins d'impatience, le jour, espérant calmer mes nerfs par un peu d'activité.
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