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On s'étonne de tous les propos imprudents que se permet quelquefois un homme public dans les états libres et surtout dans les états démocratiques, sans en être compromis; tandis que, dans les monarchies absolues, quelques mots qui échappent par hasard suffisent pour le dévoiler

«Les Suions , nation germanique, rendent honneur aux richesses, dit Tacite : ce qui fait qu'ils vivent sous le gouvernement d'un seulCela signifie bien que le luxe est singulièrement propre aux monarchies, et qu'il n'y faut point de lois somptuaires. Les Suions occupaient cette partie de l'Europe que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de Suède. De Moribus Germanorum.

La poésie moderne, devenue l'amie de la canaille, devait finir comme l'Ami du Peuple. Madame se meurt, Madame est morte, Madame est ensevelie, non dans la pourpre ni dans l'azur fleurdelisé des monarchies, mais dans la défroque vermineuse du populo souverain et voici de bien affreux croque-morts pour la porter en terre.

A cet homme, que de grandes monarchies eussent envié au prince de Parme, on ne connaissait qu'une passion: être en conversation intime avec de grands personnages et leur plaire par des bouffonneries. Peu lui importait que l'homme puissant rît de ce qu'il disait, ou de sa propre personne, ou fît des plaisanteries révoltantes sur Mme Rassi; pourvu qu'il vît rire et qu'on le traitât avec familiarité, il était content. Quelquefois le prince, ne sachant plus comment abuser de la dignité de ce grand juge, lui donnait des coups de pied; si les coups de pied lui faisaient mal, il se mettait

Les dots doivent être considérables dans les monarchies, afin que les maris puissent soutenir leur rang et le luxe établi. Elles doivent être médiocres dans les républiques, le luxe ne doit pas régner . Elles doivent être

Dans les monarchies[C60], la politesse est naturalisée

En moins d'un mois le serment fut oublié. Adolphe n'avait pas plus de fidélité envers les républiques, les monarchies et les empires qu'

Note C52: (p. 126). «La nature de l'honneur est de demander des préférences et des distinctionsVoltaire demande avec raison s'il n'en est pas de même dans le gouvernement républicain: «Les haches, les faisceaux, le triomphe valaient bien des rubans de toutes couleursCependant, toutes choses égales d'ailleurs, il y a plus de distinctions honorifiques dans les monarchies que dans les démocraties. Il y en a encore beaucoup dans notre république; mais cela tient

Il en doit être ainsi, surtout dans les grandes monarchies centralisées, le nombre des fonctions rétribuées est immense et l'existence des fonctionnaires assez assurée; de telle sorte que personne ne désespère d'y obtenir un emploi et d'en jouir paisiblement comme d'un patrimoine.

Nous avons vu qu'il y a dans ce principe, tel que Montesquieu le décrit, une assez grande confusion: tantôt c'est une sorte de vanité frivole ou le préjugé étroit d'une caste et d'une corporation, tantôt c'est la grandeur d'âme et la fierté des sentiments. Dans lequel de ces deux sens l'honneur est-il le principe conservateur des monarchies? Il faudrait distinguer ces nuances importantes, et ne pas faire un seul principe de tant d'éléments contraires. Cette sorte d'honneur que l'on mettait dans l'ancienne monarchie