Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 1 mai 2025


De ce tourbillon de molécules se dégageait une lueur faible, mais cependant suffisante pour que je visse mon ami dans la position que j'ai dite, la tête appuyée sur un coussin, les yeux fermés, comme dormant, si pâle! d'une blancheur lunaire!

Ainsi, pour en citer l'exemple le plus admirable, nous disons que les phénomènes généraux de l'univers sont expliqués, autant qu'ils puissent l'être, par la loi de la gravitation newtonienne, parce que, d'un côté, cette belle théorie nous montre toute l'immense variété des faits astronomiques, comme n'étant qu'un seul et même fait envisagé sous divers points de vue; la tendance constante de toutes les molécules les unes vers les autres en raison directe de leurs masses, et en raison inverse des carrés de leurs distances; tandis que, d'un autre côté, ce fait général nous est présenté comme une simple extension d'un phénomène qui nous est éminemment familier, et que, par cela seul, nous regardons comme parfaitement connu, la pesanteur des corps

Le problème, considéré dans toute sa généralité, est d'un traitement mathématique trop pénible. On le réduit, pour la facilité du calcul, aux termes suivants (TISSERAND, Mécanique céleste, t. II, p. 110): Trouver la figure d'équilibre d'une masse fluide, homogène, animée d'un mouvement de rotation uniforme autour d'un axe fixe Ox passant par son centre de gravité O. Toutes les molécules de la masse fluide s'attirent mutuellement suivant la loi de Newton et sont soumises en outre

Mais comment s'imaginer les dernières molécules matérielles d'un corps et en évaluer le nombre?

Nous avons jusqu'ici considéré l'action du soleil sur les planètes et de celles-ci sur leurs satellites, sans avoir aucun égard aux dimensions et aux formes de ces grands corps, et comme si tous étaient autant de points. Mais, la proportionnalité bien constatée entre l'intensité de cette action et la masse du corps qui l'éprouve, montre clairement qu'elle ne s'exerce directement que sur les molécules, qui toutes y participent indépendamment les unes des autres, et avec une égale énergie, sauf la diversité des distances. La gravitation moléculaire est donc seule réelle, et celle des masses n'en peut être que le résultat mathématique. Celle-ci néanmoins peut seule être immédiatement considérée, soit dans l'observation des phénomènes, soit dans l'étude mathématique des mouvemens, qui exige indispensablement la conception d'une force unique, au lieu de cette infinité d'actions élémentaires. De l

Quoique la définition mathématique des solides se trouve représenter beaucoup plus exactement leur état réel, on a cependant plusieurs occasions de reconnaître la nécessité de tenir compte en certains cas de la possibilité de séparation mutuelle qui existe toujours entre les molécules d'un solide, si les forces qui leur sont appliquées, acquièrent une intensité suffisante, et dont on fait complétement abstraction en mécanique rationnelle. C'est ce qu'on peut aisément constater surtout dans la théorie de la rupture des solides, qui,

Mon idée n'a cependant rien d'excentrique. Tout corps est composé de molécules, réunies ensemble par la force de cohésion. Un corps est d'autant plus solide et résistant que la cohésion des molécules constitutives est plus forte. Or, le bois et ce mur est une cloison de bois, est peu résistant. Donc la cohésion n'est pas parfaite. Donc il existe des espaces relativement considérables entre les molécules. Donc, il est possible au regard de devenir, par l'habitude et l'exercice, assez aigu pour se glisser

Toute idée est, par elle-même, douée d'une vie immortelle, comme une personne. Toute forme créée, même par l'homme, est immortelle. Car la forme est indépendante de la matière, et ce ne sont pas les molécules qui constituent la forme. Anecdotes relatives

Pas plus que je ne pense, mon cher chevalier, que la génération des êtres vivants s'opère par des molécules organiques et des moules intérieurs; ce qui est encore une théorie du même auteur, non moins absurde,

Il imagina que le courant électrique et les forces qui l'accompagnent n'avaient d'autre cause qu'un changement brusque opéré par le frottement, ou l'action chimique, dans la direction naturelle des molécules dont se compose le corps électrisé.

Mot du Jour

chalut

D'autres à la Recherche