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Mis à jour: 23 mai 2025


La nouvelle loi militaire allemande qui comporte aussi une amélioration sensible de la mobilisation, une extension des moyens techniques (augmentation du nombre des compagnies de mitrailleuses et de la puissance des nouvelles formations d'artillerie), un perfectionnement de l'organisation générale de l'armée, et une amélioration du réseau ferré de la Prusse rhénane, questions qui mériteraient une plus longue étude, est incontestablement une oeuvre mûrement réfléchie, avec un but précis, un objectif nettement délimité. Elle nous intéresse au premier chef, nous avertissait charitablement la Gazette de l'Allemagne du Nord, le 23 mars; sans aucun doute, mais elle ne saurait nous intimider, car, en résumé, sur le champ de la bataille décisive (tableau ci-contre), la différence sera seulement de 24 bataillons, soit la valeur d'un corps d'armée. Nos forces de couverture peuvent suffire, avec leur entraînement incomparable. La rapidité de notre mobilisation égale celle d'outre-Rhin; la valeur de nos unités mobilisées avec leur complément de réservistes ne le céderait en rien

Cet enlèvement lui était facile: l'armée de Davout, les garnisons de Dantzick, Stettin, Custrin et Glogau, les troupes mobilisées du grand-duché de Varsovie, celles de Saxe et de Westphalie, tenaient plus étroitement bloqué que jamais le royaume suspect: il suffirait d'un ordre, d'un geste, pour que ce cercle de fer, se rétrécissant subitement, broyât la Prusse dans une mortelle étreinte. Sans doute, ce serait la guerre avec la Russie, la guerre immédiate et furieuse; mais l'exécution de la Prusse s'opérerait si aisément et avec une telle promptitude que nos troupes, après avoir accompli ce coup de main, auraient encore le temps de courir sur la Vistule, de s'y déployer avant que les Russes aient pu sortir de leurs frontières et forcer l'entrée de l'Allemagne: la grande lutte s'engagerait plus tôt que ne le souhaitait l'Empereur, mais au moins le théâtre n'en serait-il pas déplacé. Napoléon admet maintenant,

Les ennemis attaquèrent l'armée en avant de Leipzig, je crois, le 18 octobre; le feu fut meurtrier. On fit de part et d'autre des prodiges de valeur. Ils devaient surprendre davantage de la part des troupes françaises, dont les plus vieux corps étaient les cohortes de gardes nationaux, qui avaient été mobilisées et mises en campagne depuis le mois de mars. La cavalerie n'était non plus composée que de recrues; les hommes et les chevaux étaient aussi neufs les uns que les autres; il n'y avait que l'artillerie qui fût en bon état. Quel que fût néanmoins l'appui qu'elle tirait de cette arme, l'armée n'eût pas résisté quelques heures

Il peut être intéressant de voir, dans ces conditions, quelle serait la composition probable des unités mobilisées en France et en Allemagne, c'est ce que représente le tableau n° 2. [Illustration: II.-PROPORTION DE R

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cuthbert

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