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Mis à jour: 8 juillet 2025
À Mitau, le roi proscrit saisissait mieux la réalité. Dans les rapports qui lui arrivaient de Londres et de Vienne, il apercevait clairement que les intérêts de sa dynastie étaient le moindre souci des deux gouvernements dont Paul Ier lui garantissait le bon vouloir. Le ministère britannique avait désavoué Talbot, l'agent qui remplaçait Wickham en Suisse. Lui reprochant de s'être trop étroitement associé aux complots ourdis par les royalistes pour renverser le Directoire, il l'avait envoyé en Suède et remplacé d'abord par le colonel Crawford, ensuite par Wickham lui-même. Wickham était venu reprendre la direction des menées anglaises, précédemment exercée par lui, avec l'ordre de tenir les royalistes au second rang, de leur faire comprendre que, dans la conviction du gouvernement anglais, le succès des ennemis extérieurs du gouvernement français pouvait seul ouvrir une voie sûre
Des pouvoirs, des lettres et des diverses instructions que l'abbé de La Marre emportait en quittant Mitau, le 23 février 1800, il résulte que c'est un vaste plan d'ensemble, qu'avec l'aide de Royer-Collard, il était chargé de mettre sur pied, et que ce plan avait pour but principal la formation,
À son départ de Mitau, on lui remit l'acte d'indemnité et de sûreté exigé par Barras, les lettres patentes, comme on disait. «Cet acte est écrit de la main de Sa Majesté. Nous aimerions assez qu'il demeurât
En dépit des lenteurs que laissait prévoir La Fare, en les expliquant, le roi, constatant l'accord des deux cours impériales et que tous les consentements étaient donnés, considéra l'affaire comme étant définitivement terminée. La correspondance qui partit de Mitau le 11 septembre fut volumineuse. Le roi avait écrit
Vers le même temps, 6 octobre, on écrivait de Mitau
En quittant Mitau, l'abbé de La Marre avait fait diligence. Quoiqu'il eût dû s'arrêter
Ce langage ne témoigne pas seulement de la candeur dont faisait preuve la cour de Mitau en supposant Barras capable de se sacrifier au roi par l'abandon de son pouvoir, le désaveu de sa conduite antérieure et l'acceptation volontaire de l'exil; il prouve aussi qu'on y prenait au sérieux, sur la foi des récits transmis par La Maisonfort, des affirmations dictées uniquement par la cupidité. Quelques jours plus tard, une nouvelle lettre de Saint-Priest prévenait Thauvenay que «la personne de marque», désignée par le roi, était le jeune duc de Fleury, premier gentilhomme de la chambre, neveu du maréchal de Castries. «Il a de l'esprit et de la capacité, et sa jeunesse n'est point aux dépens de sa maturité. Nous espérons que son âge et son état serviront
En même temps que Madame Royale se dirigeait vers Mitau, la reine y arriva dans la soirée du 2 juin. Son voyage avait été l'objet de longues négociations et donné lieu entre elle et son mari
Il se lança ensuite dans de longs discours qu'il se proposait de faire entendre au roi. Enfin il demanda un chiffre pour communiquer librement avec Mitau. Thauvenay lui promit de présenter sa requête
Comment la cour de Mitau ne se serait-elle pas livrée
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