Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 15 octobre 2025
On se peindrait difficilement l'étonnement et l'enthousiasme des Milanais, en voyant arriver l'armée française: le premier consul marchait avec l'avant-garde, de sorte qu'une des premières personnes qui s'offrit aux regards des Milanais, que l'enthousiasme et la curiosité faisaient arriver par tous les chemins détournés au-devant de l'armée française, fut le général Bonaparte.
Pendant ce temps, le reste de l'armée passait les Alpes, descendait dans le Piémont, traversait le Milanais, évitait Florence la gibeline, gagnait Ferrare, et, se recrutant partout des Guelfes qu'elle rencontrait sur son chemin, arrivait devant Rome dans les derniers jours de l'année 1265.
Contre la Reine-mère la guerre de plume avait repris plus vive. Dans de courtes satires ou de longs pamphlets, politiques et protestants, en vers, en prose, en latin, en français, excitaient le sentiment national contre cette étrangère, qui gouvernait avec des étrangers. Le Milanais Birague est chancelier; Philippe Strozzi, colonel général de l'infanterie française; le duc de Nevers, un Gonzague de Mantoue, chef d'armée; Albert de Gondi, maréchal de France. Sardini et un Gondi d'une autre branche, Jean-Baptiste, afferment les impôts et en lèvent plus qu'ils ne doivent; par les mêmes moyens Adjacet épuise nos richesses. «Ainsi la Médicis livre le royaume
À ce bruit ses fils accoururent, l'un avec une fourche, et l'autre avec la pique de son père; ils se jetèrent, celui-ci sur Pagolo, l'autre sur le Milanais qui nous accompagnait, et qui se défendait en s'écriant qu'il n'avait que faire dans cette querelle, ce qui ne l'empêcha pas de recevoir un coup qui lui fendit la bouche. Quant
Cette nouvelle terrifia Ludovic le More, car le successeur au trône qui devait prendre le nom de Louis XII, le duc d'Orléans, était le pire ennemi de la maison des Sforza. Petit-fils de Valentine Visconti, fille du premier duc milanais, il se considérait comme l'unique héritier de la Lombardie et avait l'intention de la conquérir après avoir réduit en cendres «le repaire des brigands Sforza».
Seule des filles du roi, elle obtient de rester près de lui, de ne pas subir le couvent. Elle prendra le Roi, sans nul doute, lui fera faire ce que veut le Dauphin. Tous Espagnols de coeur, voulant le Milanais pour l'infant et l'infante. Mais secondairement tous pour Marie-Thérèse. Tous rêvant l'avenir de l'hymen autrichien, visant pour une infante d'Espagne le petit Joseph II .
Les villes de Bergame et de Brescia, les plus agitées de la terre-ferme, étaient fort en communication avec Milan. Partout se formaient des comités révolutionnaires secrets pour correspondre avec les patriotes milanais. On leur demandait du secours pour secouer le joug de Venise. Les victoires des Français ne laissaient plus aucun doute sur l'expulsion définitive des Autrichiens. Les patrons de l'aristocratie étaient donc vaincus; et quoique les Français affectassent la neutralité, il était clair qu'ils n'emploieraient pas leurs armes
Ce finale est plein de mouvement, d'entrées et de sorties auxquelles le spectateur prend un vif intérêt. Il y a beaucoup d'a solo et de petits morceaux d'ensemble fort attachants. Il est impossible de mieux disposer les groupes d'un grand tableau. Les paroles ne sont pas mal: je voudrais que ce fût le contraire, que la situation fût belle et naturelle, et les paroles fort ridicules, car qui fait attention aux paroles? A Naples, on trouvait des longueurs dans ce finale; je l'ai vu admiré par le caractère plus tranquille des Milanais. Pour mon compte, je me range
Le secours milanais ne suffit pas pour réduire la citadelle, on se contenta de la tenir bloquée, et cependant un nouveau danger se manifesta. Savone devint le point d'appui d'où les Français menaçaient Gênes, où les mécontents allaient les renforcer. Charles VII envoyait six mille hommes par le Dauphiné; le roi René était venu de Marseille avec des galères; Sforza engagea Marc Pie de Carpi
Les deux filles aînées, l'Infante et Henriette, qui ont seize ans , sont une avec leur mère. La première, grande et belle, fort aimée de son père (stylée par la Farnèse), voulait non-seulement une royauté du Milanais, mais, ce qui est plus fort,
Mot du Jour
D'autres à la Recherche