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Depuis trois semaines, Fioravanti avait obtenu des succès immenses dans les Huguenots. Le premier acte, interprété au goût des Quiquendoniens, avait rempli une soirée tout entière de la première semaine du mois. Une autre soirée de la seconde semaine, allongée par des andante infinis, avait valu au célèbre chanteur une véritable ovation. Le succès s'était encore accru avec le troisième acte du chef-d'oeuvre de Meyerbeer. Mais c'est au quatrième acte qu'on attendait Fioravanti, et ce quatrième acte, c'est ce soir-l

Maintenant, faut-il vous parler de ces deux énormes concerts? Ils m'ont donné bien de la peine, je vous assure. Et pourtant les artistes sont habiles, leurs dispositions étaient des plus bienveillantes, et Meyerbeer, pour me venir en aide, semblait se multiplier. C'est que le service journalier d'un grand théâtre comme celui de l'Opéra de Berlin a des exigences toujours fort gênantes et incompatibles avec les préparatifs d'un concert, et, pour tourner et vaincre les difficultés qui surgissaient

Que dites-vous de cette énorme brioche de notre ami Odo Russell, doublée de celle de son oncle? Représentez-vous les rires homériques du sacré collège. A quoi sert-il d'avoir de l'esprit? N'avez-vous pas remarqué que les Anglais, et les gens du Nord en général, ne comprennent pas du tout la plaisanterie des gens du Midi? Le frère de Meyerbeer, qui était Prussien et poète, se figurait toujours que je me moquais de lui, et, si je lui offrais des épinards

Berlioz a pu lâcher cette méchanceté dans un instant d'humeur. Ce n'était point son opinion intime. Tels passages de ses œuvres (ce ne sont pas les meilleurs), notamment le finale de la Réconciliation, théâtral épilogue de la belle symphonie de Roméo et Juliette, prouveraient que l'admiration de Berlioz pour Meyerbeer ne fut que trop réelle... Mais, rien qu'

J'écoutais sans oser respirer et j'appelais de tous mes vœux notre savant ami Meyerbeer pour m'expliquer des beautés que je sentais profondément sans les comprendre; il les aurait comprises en s'en inspirant, car sa manière d'admirer les modèles, c'est de les égaler.

Mais, d'autre part, une musique non nationale ne saurait exister; en réalité, toute musique qu'on a l'habitude de considérer comme universelle, est quand même nationale. La musique de Beethoven est allemande; celle de Wagner est indiscutablement allemande, celle de Berlioz est française, celle de Meyerbeer l'est également.

Quelle heureuse soirée me fit passer cette représentation d'Armide, dirigée par Meyerbeer! Je ne l'oublierai jamais! L'orchestre et les chœurs, inspirés

Dans la Caricature, un journaliste anonyme publiait un article intitulé: le Musicien incompris: «Le musicien incompris méprise profondément ce qu'on nomme vulgairement le public; mais en compensation il n'a qu'une médiocre estime pour les artistes contemporains. Si vous lui nommez Meyerbeer: Hum! hum! il a quelque talent, je ne dis pas, mais il sacrifie

10 novembre 1836 Comme toutes les œuvres qui attirent sur elles l'attention de la foule, comme tous les succès dont le retentissement est grand, la dernière œuvre et le dernier succès de Meyerbeer excitent des haines et des enthousiasmes incroyables. Les admirateurs et les détracteurs se coudoient

Et Randle, promenant ses yeux autour de lui, commença de sa voix délicieuse: Pays merveilleux, Jardins fortunés.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Oh! paradis... sorti de l'onde.... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L'ombre de Meyerbeer dut cette nuit-l