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En disant cela, Calistus Munbar est si chaleureux que ses auditeurs en sont impressionnés. Il parle de Saint-Saëns, de Reyer, d'Ambroise Thomas, de Gounod, de Massenet, de Verdi, et des chefs-d'oeuvre impérissables des Berlioz, des Meyerbeer, des Halévy, des Rossini, des Beethoven, des Haydn, des Mozart, en homme qui les connaît

Weber avait dix-sept ans, dit-on, quand il écrivit la partition de cette pièce ingénieuse. On dit même que M. Meyerbeer l'aida tant soit peu dans son travail, mais qu'il n'avait alors, lui, que seize ans et demi. De sorte que l'auteur des Huguenots est aujourd'hui dans l'impossibilité la plus absolue de reconnaître les morceaux dont il a orné l'œuvre de son ami, et que si quelque vieux bibliophile venait lui dire avec assurance: «Cet air est de vousil serait capable de faire la réponse du bon la Fontaine,

De tous les musiciens de son temps, celui qu'il loua avec le plus d'ardeur, ce fut Meyerbeer. Ce goût déconcertant gêne quelques-uns de ses fervents: ils voudraient mettre au compte des complaisances nécessaires les éloges décernés par le musicien des Troyens au compositeur du Pardon de Ploërmel: simple gratitude de Berlioz, disent-ils, pour un maître illustre, auditeur assidu et bienveillant de toutes ses symphonies et de tous ses opéras. A leur avis, si l'on veut savoir sa véritable opinion, il faut s'en tenir

«Ah! monsieur, ce Meyerbeer, cette ouverture de Struensée, cette phrase funèbre, et puis cette danse de paysans si emportée, si colorée, et puis la phrase de mort qui reprend, le duo des violoncelles!... Ah! monsieur, les violoncelles, les violoncelles!... Et, madame, Berlioz, l'air de fête de Roméo?... Oh! le solo des clarinettes, les femmes aimées, avec l'accompagnement des harpes!

Si encore, c'était la musique que j'aime!... car je vous l'avouerai, il y en a une que j'adore!... Beethoven, Mozart, Mendelssohn?... Ah! ouitche, vous n'y êtes pas... Meyerbeer, Hadyn, Haendel... Vous ne brûlez pas du tout... Alors votre musique favorite?... Est celle de Donizetti... sans calembour. Avec un calembour charmant, bien au contraire.

Et ces musiciens ? dis-je, en montrant des partitions de Weber, de Rossini, de Mozart, de Beethoven, d'Haydn, de Meyerbeer, d'Herold, de Wagner, d'Auber, de Gounod, et nombre d'autres, éparses sur un pianoorgue de grand modèle qui occupait un des panneaux du salon.

Je donnerai des notices développées sur Saverio Mercadante, auteur d'Elisa e Claudio et de l'Apothèose d'Hercule; sur M. Caraffa, auteur de Gabriella de Vergy; sur Pacini, qui a fait un duetto sublime dans le Baron de Dolsheim; sur MM. Meyerbeer, Pavesi, Morlacchi, auteurs de l'Isolina et du Coradino, etc., etc. Malheureusement jusqu'ici ces messieurs imitent tous Rossini.

Lundi 21 août. La vieille Mme Clérambaud, la maîtresse de piano d'Edmée, qui a beaucoup vécu dans l'intimité de Rossini, nous apprend, ce matin, qu'il avait pris volontairement sa retraite, avant cinquante ans, disant, en faisant allusion aux opéras d'Halévy et de Meyerbeer: «Voil

M. Meyerbeer, ému par ces formule d'admiration trop négligées par les critiques du grand format, serra la main de son admirateur et lui dit tout bas

L'allegro appassionato de l'entracte est joué suivant l'habitude, avec une lenteur majestueuse, qui eût fait bondir l'illustre Meyerbeer, et dont les dilettanti Quiquendoniens apprécient toute la majesté.