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Mis à jour: 21 mai 2025


Un pas de menuet!... une gigue sur la nappe! Si tu n'es pas un ingrat, Jonas, dit Nocé d'un ton pénétré, déclame-nous la scène d'Achille et d'Agamemnon! Mesdames et messieurs, répondit gravement

Non point, mon enfant. M. d'Astarac était bien trop secret pour montrer ces poupées. Mais elle en a ouï parler par un homme d'église, du nom de Fulgence, qui hantait le château et jurait avoir vu ces petites personnes sortir de leur prison de verre pour danser un menuet. Et elle n'avait en cela que plus de raison d'y croire. Car on peut douter de ce qu'on voit, mais non pas de la parole d'un honnête homme, surtout quand il est d'église. Il y a encore un malheur

Le menuet était le triomphe de Tom, et le chef-d'oeuvre chorégraphique de Fau. Aussi le succès se déclara-t-il dès les premières passes et alla-t-il croissant; aux dernières figures, c'était du délire. Tom fut emporté en triomphe dans une avant-scène; puis la bergère détacha sa couronne de roses et la lui posa sur la tête; toute la salle battit des mains et une voix alla jusqu'

La fille souveraine et la femme sujette, telles sont les vieilles coutumes anglaises. Josiane différait le plus qu'elle pouvait l'heure de cette sujétion. Qu'il fallût en venir au mariage avec lord David, puisque le bon plaisir royal l'exigeait, c'était une nécessité sans doute, mais quel dommage! Josiane agréait et éconduisait lord David. Il y avait entre eux accord tacite pour ne point conclure et pour ne point rompre. Ils s'éludaient. Cette façon de s'aimer, avec un pas en avant et deux pas en arrière, est exprimée par les danses du temps, le menuet et la gavotte. Être des gens mariés, cela ne va pas

C'était au mois de mai. Un parfum de fleurs voltigeait dans les allées proprettes; un bon soleil glissait entre les feuilles et semait sur nous de larges gouttes de lumière. La robe noire de la Castris semblait toute mouillée de clarté. Le jardin était vide. On entendait au loin rouler des fiacres. Expliquez-moi donc, dis-je au vieux danseur, ce que c'était que le menuet? Il tressaillit.

On a voulu très longtemps et quelques personnes voudraient encore retenir la symphonie dans le cadre étroit qui lui fut tracé par Haydn. Mozart ne fit pas la moindre tentative pour en sortir. C'était toujours, pour lui comme pour Haydn, le même plan, le même ordre d'idées, la même succession d'impressions, toujours un allegro suivi d'un andante, d'un menuet et d'un finale sémillant et vif. Et dans ces quatre morceaux jamais autre chose qu'un enchaînement plus ou moins habile de jolies phrases, de petites coquetteries mélodiques, de jeux d'orchestre piquants et spirituels; ces compositions n'avaient pour but que de divertir l'oreille, et je conçois parfaitement que le prince Estherhazy se plût

Telles sont les raisons, sans doute, pour lesquelles le nombre des symphonies nouvelles va toujours diminuant. Haydn en écrivit plus de cent, Mozart en laissa dix-sept, Beethoven neuf, Mendelssohn trois, Schubert une. M. Reber a eu un peu plus de courage que ces derniers; il en a écrit quatre, que l'honorable éditeur Richaut vient de publier en grande partition. Ce sont des symphonies dans la forme classique adoptée par Haydn et par Mozart; chacune se compose de quatre morceaux, un allegro, un adagio, un scherzo ou un menuet, et un final d'un mouvement vif. Il faut signaler cependant la diversité de caractère des troisièmes morceaux de ces quatre symphonies. Celui de la première (en mineur) est un scherzo

«Wolfgang Mozart a quatre sonates chez le graveur; figurez-vous le bruit qu'elles feront dans le monde quand on saura et qu'on verra sur le titre qu'elles sont l'oeuvre d'un enfant de sept ans! S'il y a des incrédules, on les convaincra par des preuves, comme il nous arrive tous les jours. Nous avons fait écrire dernièrement par un artiste un menuet, et aussitôt, sans toucher le clavecin, notre petit bonhomme a écrit la basse et il écrira aussi couramment si l'on veut le second violon. Vous entendrez combien ces sonates sont belles; je puis vous assurer que Dieu fait tous les jours de nouveaux miracles dans cet enfant. Lorsque nous serons de retour

Oui, oui, répondit Fau en se dirigeant vers la salle; mais il ne faudrait pas trop l'ennuyer pour qu'il fût drôle. Je tâcherai qu'il danse le menuet. Oh! vraiment? Il me l'a promis. Dites cela

Le scherzo est le premier de cette famille de charmants badinages (scherzi) dont Beethoven a inventé la forme, déterminé le mouvement, et qu'il a substitués presque dans toutes ses œuvres instrumentales au menuet de Mozart et de Haydn dont le mouvement est moins rapide du double et le caractère tout différent. Celui-ci est d'une fraîcheur, d'une agilité et d'une grâce exquises. C'est la seule véritable nouveauté de cette symphonie, l'idée poétique, si grande et si riche dans la plupart des œuvres qui ont suivi celle-ci, manque tout

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