Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 25 octobre 2025
Ce sont bien des Lapons; mais ils sont trop liants, trop bons vendeurs, ils parlent trop bien l'anglais; ils ressemblent trop, comme mentalité commerciale, aux Italiens marchands de moulages qui nous mettent dans les mains,
L'infortuné baccalauréat a suscité un intéressant exemple de cette mentalité spéciale. Après avoir proposé de le supprimer, on propose immédiatement, et cela dans le même projet de loi, de le rétablir sous un autre nom. Il ne s'appellera plus baccalauréat, il s'appellera certificat d'études,
«Sur mer, nous ne sommes tenus d'observer aucune loi, rien ne doit nous arrêter quand il s'agit de la sécurité de nos armées et du ravitaillement de notre population, car nous sommes les plus faibles et nécessité fait loi.» Un article de La Vérité résume la mentalité de nos ennemis: La guerre
Au reste, si l'on désire porter un jugement équitable sur les modifications subies, dans le cours des siècles, par la mentalité philosophique, c'est aux systèmes les plus renommés du passé qu'il faut confronter les grandes doctrines aujourd'hui en faveur auprès de l'opinion. On s'étonne alors du rôle prééminent qui, dans la conception générale du monde, [p.39] échoit de plus en plus
Quel infranchissable abîme entre la mentalité cultivée de l'Allemand et celle de l'homme civilisé, entre le culte de la force et la pratique du bien!
Confiance, amis, vous tous qui chérissez la France, dites-vous que le plus sûr moyen de l'honorer, c'est de garder son bon sens, sa bonhomie et son ironie! Que la voix de ce livre, affectueuse et vaillante, vous soit un exemple et un guide! Jugez avec vos yeux, laissez parler votre cœur. Ne vous payez pas de grands mots. Défaites-vous, peuples d'Europe, de cette mentalité de troupeaux, qui s'en remettent, pour juger de l'herbe qu'ils doivent brouter, aux bergers et
La presse clandestine s'est aussi occupée, cela se comprend, de la barbarie préméditée avec laquelle les Allemands conduisent la guerre. Il serait trop long de citer les articles relatifs au bombardement de villes ouvertes, aux gaz asphyxiants, aux liquides enflammés. Voici seulement quelques entrefilets sur la guerre sous-marine. La mentalité des Allemands.
Ce tableau de la mentalité pangermaniste que nous présente von Bernhardi, après les échecs et les mécomptes que la triplice austro-germano-turque a subis depuis huit mois, est bien différent de celui que le même général nous offrait, il n'y a pas longtemps, au sujet des devoirs et des besoins de l'empire.
Si l'on jette un coup d'œil sur l'ensemble des grandes et belles qualités qui caractérisent nos classes moyennes et inférieures, infaillible honnêteté, compétence et fidélité au devoir, ardeur au travail, courage devant le danger et la souffrance, sentiment calme, profond et pieux que leur inspirent Dieu, l'homme et la nature, amour de la patrie et oubli de soi-même, soif de savoir, de comprendre et de pouvoir, les tâches sombres de notre tableau apparaissent insignifiantes au point de vue humain, et notre nation peut encore se vanter heureusement de posséder si peu de défauts. Mais si nous nous plaçons au point de vue des idéaux politiques, qui forment la pierre de touche de notre analyse, nous ne pouvons plus nous contenter de cette considération, car les quelques défauts que présente notre caractère sont malheureusement de ceux qui peuvent rendre, et ont rendu pendant longtemps, un peuple a-politique. Ce dont nous avons besoin, c'est l'indépendance, le sentiment de noblesse, la mentalité de maîtres, le désir de responsabilité, la générosité; nous avons besoin de nous affranchir de l'esprit de soumission et de commandement, de mesquinerie et d'envie. Telle est la condition de toute la politique allemande et de toute la politique de l'avenir, et cette condition sera réalisée, non par les institutions, mais par une transformation de notre caractère. À l'avenir, tout homme politique, pour autant qu'il ne représentera ni puissance, ni intérêts quelconques, devra être pénétré de cette vérité que c'est l'éveil de nouvelles forces morales qui constitue la condition fondamentale de notre organisation et que les institutions humaines suivent docilement la marche du développement, comme l'écorce suit la croissance du tronc. Si nous sommes devenus une nation il y a cent ans, si nous sommes devenus un
Pour bien connaître une race humaine, pour apprécier sa mentalité, pour dégager ses procédés de raisonnement, pour comprendre sa vie intellectuelle et morale, il n'est rien de tel que d'étudier son folklore, c'est-
Mot du Jour
D'autres à la Recherche