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Mis à jour: 3 juin 2025


J'ai vécu d'heureuses années sans écrire. Je menais une vie contemplative et solitaire dont le souvenir m'est encore infiniment doux. Alors, comme je n'étudiais rien, j'apprenais beaucoup. En effet, c'est en se promenant qu'on fait les belles découvertes intellectuelles et morales. Au contraire, ce qu'on trouve dans un laboratoire ou dans un cabinet de travail est en général fort peu de chose, et il est

Tu n'y pensais pas, ni moi non plus, quand je te menais en carriole

Lorsque je le pouvais, j'accompagnais mes hôtes: alors la chasse était toujours abondante et remplie d'intérêt, parce que j'avais soin de les conduire dans des lieux giboyeux et pittoresques. Je les menais quelquefois

Je menais modérément la vie du monde; j'avais un intérieur doux j'étais adorée. Mon père était dans toute la force de son intelligence et de sa santé, et s'occupait continuellement de mon frère et de moi. Nous avions repris nos lectures et nos études et menions une vie très rationnelle. Mon frère avait une très belle voix. Nous faisions beaucoup de musique.

Laisse-moi, mon bon père, dormir un peu. Dors donc; mais sache que toutes ces dettes retomberont sur ta tête. Hélas! Périsse misérablement l'agence matrimoniale qui me fit épouser ta mère! Moi, je menais aux champs une vie des plus douces, inculte, négligé, et couché au hasard, riche en abeilles, en brebis, en marc d'olives. Alors je me suis marié, moi paysan,

Je crois bien, il payait pour tout le monde... Te souviens-tu, les promenades sur l'eau... c'est moi qui les menais... même que le montreur de singes avait emporté son orgue pour faire de la musique dans le bateau?... Et puis, le soir, le beau feu d'artifice qu'ils ont tiré, François!

Cependant, je n'avais pas entièrement perdu le souvenir de l'homme que j'avais trouvé sur l'escalier; j'avais toujours regardé autour de moi, lorsque le soir je menais mon hôte prendre l'air, et en le ramenant; et maintenant encore, je regardais tout autour de moi.

Après un laps de quelques mois, que je passai chez mes parents dans la pure fainéantise, je fus placé au collège d'Eton. Ce court intervalle avait été suffisant pour affaiblir en moi le souvenir des événements de l'école Bransby, ou au moins pour opérer un changement notable dans la nature des sentiments que ces souvenirs m'inspiraient. La réalité, le côté tragique du drame, n'existait plus. Je trouvais maintenant quelques motifs pour douter du témoignage de mes sens, et je me rappelais rarement l'aventure sans admirer jusqu'où peut aller la crédulité humaine, et sans sourire de la force prodigieuse d'imagination que je tenais de ma famille. Or, la vie que je menais

PETRUCHIO. Allez, canaille, allez me chercher le souper. (Les laquais sortent.) (Fredonnant un air.) est la vie que je menais? Assieds-toi, Catherine, et sois la bienvenue. (Fredonnant.) Doux, doux, doux! (Les laquais rentrent, apportant le souper.) Eh bien, quand viendrez-vous? Allons, ma chère et douce Catherine, égaye-toi. Otez-moi mes bottes, marauds. Quand, dis-je? (Il chante.) C'était un moine gris qui se promenait sur la route . Ote-toi de l

Cependant ma gouvernante me conduisait dans tous les détails de la mauvaise vie que je menais maintenant, comme si ce fût par la main, et me donnait de telles instructions, et je les suivais si bien que je devins la plus grande artiste de mon temps; et je me tirais de tous les dangers avec une si subtile dextérité, que tandis que plusieurs de mes camarades se firent enfermer

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