Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 14 mai 2025
Le gouvernement était, par le fait, depuis plus d'une année, dans les mains de Monsieur. Ainsi le même ordre de choses devait continuer, et cependant il y avait du mouvement dans les figures; on voyait des espérances naître et des existences pâlir. Tout le monde accompagna le nouveau roi dans son appartement, au pavillon Marsan.
La discorde s'était aussi emparée de l'intérieur du pavillon de Marsan; madame de Gontaut et monsieur de Mesnard s'étaient disputé la faveur de la princesse; mais le dernier l'avait emporté, et il on résultait un refroidissement pour la gouvernante qui éloignait la mère des enfants. Madame la duchesse de Berry s'en occupait très peu et ne les voyait guère. Une rougeole assez grave de monsieur le duc de Bordeaux, qui donnait quelque souci, ne changea rien
Monsieur de Blacas s'inclina profondément, mais on sentit le coup et, dans ce moment, Thisbé l'aurait caressé sans trouver d'imitateurs. Néanmoins le parti dit du pavillon de Marsan, toujours prompt
M. de Marsan arrivait alors de Strasbourg, où était son régiment; c'était un des plus beaux hommes qu'on pût voir, avec cet air fier et un peu violent que vous lui connaissez. Je ne sais s'il était du dîner où avait paru la robe neuve, mais il fut prié pour une partie de chasse chez madame Duval, qui avait une fort belle terre près de Fontainebleau. Emmeline était de cette partie. Au moment d'entrer dans le bois, le bruit du cor fit emporter le cheval qu'elle montait. Habituée aux caprices de l'animal, elle voulut l'en punir après l'avoir calmé; un coup de cravache donné trop vivement faillit lui coûter la vie. Le cheval ombrageux se jeta
Le lendemain était un samedi, jour de réception de la comtesse. M. de Marsan commençait
«Tout le monde est enchanté de notre nouveau monarque, et l'on est émerveillé de voir les libéraux chanter les louanges de ce prince du pavillon Marsan qu'ils redoutaient et qu'ils attaquaient depuis dix ans si cruellement.
Puis du roman: Jean Sbogar, Smarra, Trilby, le Peintre de Salzbourg, Mademoiselle de Marsan, Adèle, le Vampire, le Songe d'or, les Souvenirs de Jeunesse, le Roi de Bohême et ses sept châteaux, les Fantaisies du docteur Néophobus, et mille choses charmantes encore que vous connaissez, que je connais, et dont le nom ne se retrouve pas sous ma plume.
Qui ne se souvient encore de ces fêtes solennelles de Fontainebleau, où elle apparut avec tant de charme et de dignité, où un ministre d'Etat disait en la voyant gravir d'un pas majestueux les marches de l'escalier du château: «On nous avait annoncé une princesse, c'est une reine qui nous arrive.» Qui ne se souvient de ces soirées du pavillon Marsan, où madame la duchesse d'Orléans accueillait si gracieusement avec son auguste époux les hommes distingués par leur naissance et les hommes distingués par leur caractère ou leur talent, les hauts fonctionnaires du royaume et les poètes, les députés du peuple et les artistes?
Le soir en question, Madame les trouva au grand complet. Ils avaient eu vent du projet de grâce. Elle avoua être entrée dans ce complot, et dit que son beau-père et son mari l'approuvaient. Aussitôt les cris, les désespoirs éclatèrent. On lui montra les dangers de la couronne si imminents après un pareil acte que, chose sans exemple, elle monta dans la voiture d'une personne de ce sanhédrin et se rendit au pavillon de Marsan où elle trouva Monsieur également chapitré par son monde et fort disposé
M. de Marsan revint; le peu de succès de son voyage ne l'avait pas mis de bonne humeur. Ses projets étaient renversés. La révolution de juillet vint par l
Mot du Jour
D'autres à la Recherche