Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 29 juin 2025
Les éléphants s'agenouillèrent d'eux-mêmes pour recevoir leurs maîtres, les Mahrattes s'élancèrent sur leurs chevaux. Tout le monde courut aux armes, empoignant au hasard, qui un mousquet, qui une lance, qui un arc.
Les Mahrattes, qui l'avaient cru perdu, poussèrent un long cri de joie et revinrent
Vers la fin du jour, Holkar mourut après avoir fait célébrer le mariage de sa fille suivant les rites de Brahma. Corcoran fut aussitôt proclamé prince des Mahrattes, et dès le lendemain se mit
Mon ami, dit Corcoran, je suis venu aux Indes pour chercher le Gouroukaramta, et je l'ai trouvé. Je ne cherchais pas une bonne femme et une grande fortune, et je les ai trouvées aussi. Je vous ai montré comment il fallait faire pour être libre. Profitez de la leçon si vous pouvez, et faites-vous tuer plutôt que de vous laisser donner des coups de bâton. Pour moi, j'ai rempli ma tâche, et je peux désormais disposer de moi-même. J'en profite pour abdiquer et rejoindre mon ami Quaterquem. Mais auparavant, je veux faire un legs aux Mahrattes. Avertis mon Corps législatif que j'aurai demain une communication importante
«Rassurez-vous, mon brave homme, dit-il avec bonté, et expliquez-nous, s'il vous plaît, les commissions dont Sa Majesté le maharajah des Mahrattes vous a chargé pour l'Académie.
Ses cavaliers le suivirent d'abord avec assez de résolution; mais les Anglais ayant fait une décharge générale qui abattit une cinquantaine d'hommes et de chevaux, les Mahrattes, craignant mille pièges, commencèrent leur retraite et abandonnèrent leur chef.
Holkar était un noble vieillard, de pure race indoue, et le descendant de ces princes mahrattes qui ont disputé la possession de l'Inde aux Anglais.
Ce même destin combla quelques mois plus tard les voeux de Corcoran et de Sita. Dieu leur donna un fils aussi beau que sa mère et qui fut appelé Rama, du nom de l'illustre chef de la dynastie des Raghouides, dont Sita était la dernière descendante. La joie des Mahrattes fut au comble; ils voyaient renaître en lui cette race glorieuse. Pendant trois jours toute la nation célébra par des banquets splendides cet heureux événement. Corcoran, toujours économe pour lui-même, mais généreux pour son peuple, fit seul les frais de ces fêtes et de ces réjouissances publiques. Pour la première fois depuis que le monde est monde, on vit un prince qui donnait de l'argent
Et l'on se crut sûr de vaincre. Vers huit heures du matin, on aperçut l'avant-garde de l'armée anglaise qui avançait en bon ordre. Corcoran parcourut au galop les rangs des Mahrattes. «Que chacun de vous fasse son devoir, dit-il, et je réponds de tout.»
Monsieur de Boigne n'était ni si mauvais ni si bon que ses actions, prises séparément, devaient le faire juger. Né dans la plus petite bourgeoisie, il avait été longtemps soldat. J'ignore encore par quelle route il avait cheminé de la légion irlandaise au service de France jusque sur l'éléphant d'où il commandait une armée de trente mille cipayes, formée par ses soins pour le service de Sindiah, chef des princes mahrattes auxquels cette force, organisée
Mot du Jour
D'autres à la Recherche