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Mis à jour: 6 juin 2025
Je ne vueil pas de ce vous destourber, Que ne m'amiez de vostre courtoisie; Mais que pour moy, doyez mort endurer, De le croire, ce me seroit folie; Pensez de vous, et faictes chiere lye; J'en ay ouy parler assez de tieulx Qui sont tous sains; quoyque point ne desnye Que m'aymez bien, et vous encores mieulx.
Quant je congnois que vous estes tant mien, Et que m'aymez de cueur, si loyaument, Je feroye vers vous trop faulcement Se, sans faindre, ne vous amoye bien; Essayez moy se vous fauldray en rien, Gardant tousjours mon honneur seulement. Quant, etc. Et que, etc.
Si vous m'aymez encore, ô divine Princesse! De tous ces longs malheurs qui me suivoient sans cesse, Je ne conserve pas le moindre souvenir, Je perds mesme la peur de tous maux avenir, Et puis qu'enfin le Ciel permet que je vous voye, Je ne m'en plaindray plus quelque mal qu'il m'envoye.
Telz beaulx parlers ne sont en compaignie Qu'esbatemens, entre jeunes et vieulx; Contente suis, combien que je m'en rye, Que m'aymez bien, et vous encores mieulx.
Il ne fault ja vostre pousse taster, Fievre n'avez que de merencolie, Vostre orine ne aussi regarder, Tost se garist legiere maladie, Medicine devez prendre d'oublie; D'autres ay veu trop pis, en plusieurs lieux, Que vous n'estes, et, pour ce, je vous prie, Que m'aymez bien, et vous encores mieulx.
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