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Il s'avança vers moi et m'adressa la parole: Vous allez, dit-il, faire une promenade au jardin? Oui, répondis-je. Je portais

Je n'avais pas attendu dix minutes, que lord Byron survint. Il ne m'adressa que deux mots et un signe de main en excuse comme pour me demander une minute; il était avec un jeune homme qui déposa sur la table un plat rempli de sang. Je tressaillis, et le jeune homme et lord Byron regardèrent ce sang avec attention. Ma tête romanesque commençait

Un amateur belge, induit en erreur avec beaucoup d'autres, m'adressa alors un paquet contenant une lettre, des vers et de la musique. La lettre était ainsi conçue: «Monsieur, »J'apprends par la voie des journaux que vous êtes chargé de composer une symphonie pour la cérémonie de la translation des cendres impériales au Panthéon.

Un très bel homme alors m'adressa la parole: vous êtes, dit-il, après m'avoir salué très-poliment, au milieu d'une assemblée de sorciers, mais, comme vous voyez, ils ne sont pas effrayans, entrez hardiment, aucun mal ne vous sera fait; et aussitôt je fus introduit dans une vaste enceinte tout respirait la joie et la gaîté.

En ce moment madame Lacroix (c'était le nom de l'hôtesse) rentra; elle m'adressa la parole et prononça le nom de Moreau. À ce nom, l'inconnue tressaillit et fixa sur moi un regard inquiet. Au langage affectueux qu'elle avait pris d'abord succéda tout

Je revins jeter l'ancre au poste que j'avais quitté le matin pour essayer mon pauvre brick, qui risquait fort de ne pas être vendu. Le capitaine Manfredo ne m'adressa plus la parole que pour me dire des choses très-insignifiantes et tout-

Nous rentrâmes. M. et madame Pavelyn virent avec étonnement le changement qui s'était opéré en Rose. Elle ne cessait pas de sourire, et se réjouissait avec ivresse, comme si la santé lui était revenue subitement. À midi, lorsque je quittai le château pour rentrer chez mes parents, Rose m'adressa encore un clin d'œil pour me promettre que son vœu s'accomplirait infailliblement.

Après les premiers complimens qu'il m'adressa en espagnol avec beaucoup d'aisance, le père Cyrille me demanda quel était le motif qui lui procurait l'honneur de ma visite. Je lui répondis sans détour, qu'ayant vu de très près tous les hommes célèbres de la révolution d'Espagne, je désirais connaître également ceux de la contre-révolution, et que sur le portrait avantageux qu'un de mes amis qui était venu

Tels furent les dernier mots qu'elle m'adressa en me pressant affectueusement la main. Elle était toute émue et tremblante, je la voyais pleurer et j'avais l'enfer dans le coeur; c'est ainsi que nous nous quittâmes. Je passai le peu de jours qui suivirent cet entretien et précédèrent leur union dans des transports de rage et de jalousie inexprimables.

Ma soeur s'élança sur moi, me prit par les cheveux et m'adressa ces paroles terribles: «Arrive, mauvais garnement, qu'on te soigne