Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 6 juin 2025


Est-il besoin de dire que ce n'est pas Mérimée qui a inventé ce genre de poésie? L'improvisation funèbre qui se débite dans la maison mortuaire, et non pas

Le poème de Mérimée diffère trop de celui de Nodier pour qu’on puisse prétendre qu’il en soit une simple copie. La «couleur locale» est répandue

L'année 1881 fut d'une grande importance dans l'histoire de la Guzla. Par un contrat passé le 5 février 1881 entre M. Charpentier et M. Calmann-Lévy, on échangea quelques œuvres de Théophile Gautier, propriété du second, contre quelques œuvres de Mérimée, propriété du premier .

L'auteur du Voyage en Bosnie avait, lui aussi, parlé des vampires: nouvelle preuve pour Mérimée que la «couleur» serait insuffisante s'il ne leur accordait une place importante dans la Guzla .

On voit, d'après les comptes rendus du comité, que Mérimée déploya une certaine activité dans la grande entreprise qui n'a pas abouti. À la séance du 9 mai 1853, «M. le président fait connaître que M. Mérimée propose, dans l'intérêt du recueil des poésies populaires, de s'entremettre près de M. Capelle, qui possède une très curieuse collection de chants corses. M. Mérimée est lui-même possesseur de deux recueils imprimés de chants de cette contrée ». Le 11 juillet, «le secrétaire fait connaître que, sur l'obligeante entremise de M. Mérimée, M. Capelle a mis sa riche collection de chants corses

Lorsque M. Mérimée publia son théâtre de Clara Gazul, il n'avait pas encore vu l'Espagne, et je crois qu'il lui est depuis échappé de dire que s'il l'avait vue auparavant, il n'aurait pas imprimé son ouvrage. Il aurait eu grand tort, et nous y aurions tous perdu. Il est de ces premières inspirations que l'observation elle-même ne remplace pas. Quand M. de Rémusat se fut mis

Les chants «serviens» ou «illyriens», eux aussi, furent tenus en grande réputation; mais on les connut surtout de nom, car il en manquait une traduction. Cette traduction, si souvent désirée et réclamée, était enfin annoncée comme étant sous presse, quatre semaines seulement avant l’apparition de la Guzla. Prosper Mérimée avant «la Guzla».

Mais s'il suspecta les ballades dalmates, il ne pensa pas un moment que Mérimée en pût être l'auteur, avant d'avoir reçu de lui l'exemplaire qui portait sa signature.

Une liaison avec Mérimée, courte et malheureuse, en avril 1833, y est définitivement révélée. On en avait chuchoté jadis, mais en somme on n'en savait rien. Le premier, M. Augustin Filon, dans son excellente monographie du maître de Colomba, avait recueilli ces rumeurs. Incidemment,

Je suis ici depuis quelques jours, assez bien installé, ayant vue sur le Grand Canal; nourriture satisfaisante et bon appartement. Je vous donne ces détails parce que M. Brown dit que vous allez arriver ici, avec votre amie, qui ne jure que par l'immacolata. [Note 2: Miss Lagden et mistress Ewers, par qui Mérimée a été, jusqu'

Mot du Jour

l'égaierait

D'autres à la Recherche