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Mis à jour: 6 juillet 2025
Voici trois fois, messieurs, dit-elle, qu'on nous avertit que le souper est servi... Lequel de vous m'offre son bras?... Il y eut une certaine hésitation, mais un vieux monsieur qui perdait beaucoup, la leva: Oui, soupons!... s'écria-t-il, cela changera la veine.
«Faites que je remplisse mes engagements dans toute leur perfection, que personne ne s'occupe de moi, que je sois foulée aux pieds, oubliée comme un petit grain de sable. Je m'offre
Cesse, ô mémoire! de me tourmenter. Le présent est aujourd'hui décoloré pour moi: l'avenir ne m'offre plus d'espérances; et quant au passé, par pitié, cache-le-moi. Pourquoi ramener devant mes yeux ces images de ce que je ne reverrai pas? pourquoi me représenter ces délicieux instans
Peu importe, monsieur, dit paisiblement le chevalier. J'admire ton calme, éclata le routier. Comment! c'est ainsi qu'on te traite, toi!... Et tu ne bondis pas?... Mais, mon père, comment voulez-vous que je sois traité? Le maréchal pour quelques pauvres services que je lui ai rendus, m'offre une somptueuse hospitalité. Chevalier, nous allons partir d'ici. Non, mon père. Tu dis: non?
En compagnie d'hommes je suis timide, embarrassé: dans la société des gens de mon espèce, je suis d'une gaieté folle, spirituel; je puis être câlin comme une chatte si l'homme m'est sympathique. Quand je suis sans amour, je tombe dans une mélancolie très profonde, mais qui s'évanouit tout de suite devant les consolations que m'offre un bel homme. Du reste, je suis très léger et rien moins qu'ambitieux. Mon grade dans l'armée ne me dit rien. Les occupations d'homme ne me sont pas agréables. Ce que j'aime le mieux faire, c'est lire des romans, aller au théâtre, etc. Je suis sensible, doux, facile
Hélas! le marchand de vin est démoli. C'est tombé sous la pioche, et je ne vois qu'un tireur de cartes qui m'offre de me dire ma bonne aventure. «Combien? Deux sous, le petit jeu.» Je tire une carte par superstition pour avoir mon horoscope, pour savoir ce que je vais devenir. Deux ou trois personnes en font autant.
«Allons, je me consolerai en jouissant de ce qu'elle m'offre. Ne serai-je pas encore trop heureux? Trop heureux! oh! que je suis faible, que je suis lâche! N'est-ce pas ma femme, après tout? N'est-elle pas
Mardi 5 janvier. Une surprenante lettre de Magnard, du directeur de ce Figaro, qui m'a été toujours si hostile. Dans cette très gracieuse lettre, Magnard m'offre la succession de Wolf, le gouvernement de l'art, avec toute l'indépendance, toute la liberté que je puis désirer. Je refuse, mais je ne puis m'empêcher de songer
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