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Mis à jour: 10 juin 2025


J'avoue que la lecture de ce détail m'a causé une véritable joie, car, ignorante comme je le suis, je m'imaginais qu'il n'avait plus le droit de se mettre en tenue...

Quelquefois, comme Ève naquit d'une côte d'Adam, une femme naissait pendant mon sommeil d'une fausse position de ma cuisse. Formée du plaisir que j'étais sur le point de goûter, je m'imaginais que c'était elle qui me l'offrait. Mon corps qui sentait dans le sien ma propre chaleur voulait s'y rejoindre, je m'éveillais. Le reste des humains m'apparaissait comme bien lointain auprès de cette femme que j'avais quittée il y avait quelques moments

Cette familiarité était une grâce de sa pitié; j'y fus sensible, mais en même temps elle consacrait mon malheur. Je m'imaginais que l'Anglaise était envoyée par Reine. Vous venez de la voir? lui demandai-je. Non. Cependant, pour sortir

[3: Je m'imaginais, quand j'écrivais cela en 1819, qu'une nouvelle révolution musicale était prête

C'est celui de Tusculum, j'en suis presque sûr. Et vous reconnaîtriez sa figure? Oui, je crois pouvoir l'affirmer. Faites-y bien attention si vous l'apercevez encore, et méfiez-vous! Est-ce qu'il est grand? Assez. Et gros? Aussi. Ah! s'il est gros; ce n'est pas lui. Qui, lui? Celui que je m'imaginais; mais nous verrons bien; il faudra que je découvre ce qui en est. Allons, dormez, Excellence.

Oui, dit Richard, oui, tel était le but de mon expédition. Je m'imaginais que c'était possible: il ne nous reste plus qu'

Il m'a donné froid aux os, dit Rose en redescendant. Avez-vous remarqué ses yeux? Et quelle saleté! Il y a bien deux mois qu'il n'a posé une plume sur le bureau. Moi qui m'imaginais qu'il écrivait l

Les matelots furent tout étonnés et me firent mille questions auxquelles je n'eus pas le courage de répondre. Je m'imaginais voir autant de pygmées, mes yeux étant accoutumés aux objets monstrueux que je venais de quitter; mais le capitaine, M. Thomas Viletcks, homme de probité et de mérite, voyant que j'étais près de tomber en faiblesse, me fit entrer dans sa chambre, me donna un cordial pour me soulager, et me fit coucher sur son lit, me conseillant de prendre un peu de repos, dont j'avais assez de besoin. Avant que je m'endormisse, je lui fis entendre que j'avais des meubles précieux dans ma boîte, un brancard superbe, un lit de campagne, deux chaises, une table et une armoire; que ma chambre était tapissée ou pour mieux dire matelassée d'étoffes de soie et de coton, que, s'il voulait ordonner

J'étais trop faible pour travailler, et puis ces journées de juillet m'avaient laissé dans la tête je ne sais quelle fièvre. Il me semblait que la colère et le désespoir pouvaient faire de moi un artiste; je rêvais des tableaux effrayants; je barbouillais les murs de figures que je m'imaginais dignes de Michel-Ange. Je lisais les Iambes de Barbier, et je les façonnais dans ma tête en images vivantes. Je rêvais, j'étais oisif, je mourais de faim, et ne m'en apercevais pas. Cela ne pouvait pas durer bien longtemps, mais cela dura quelques jours avec tant de force, que je n'avais souci de rien autour de moi. Il me semblait que j'étais contenu tout entier dans ma tête, que je n'avais plus ni jambes, ni bras, ni estomac, ni mémoire, ni conscience, ni parents, ni amis. J'allais devant moi par les rues, sans savoir je voulais aller. J'étais toujours ramené, sans savoir comment, au tour des tombes de Juillet. Je ne savais pas si mon pauvre frère était enterré l

Vous, pauvre martyr! Votre supplice est plus sûr que le mien! Il vous suit partout... Je n'ai jamais voulu aller vous entendre. Je m'imaginais que cette éloquence qu'on admire en vous m'eût fait horreur, et tout bas, quand on vous vantait, devant ces femmes qui s'extasiaient, je me disais: «Le comédienMais, moi aussi, j'ai reculé

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