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Mis à jour: 24 juillet 2025


Sire, votre intention si généreuse m'éblouit et m'effraie, car, en faisant pour ma maison ce que votre bonté vous pousse

Oui, je ferai mon devoir, répondit le vieux charpentier du ton le plus douloureux, mais avec l'accent d'une ferme résolution. Je vous remercie de votre bonté, maître; mais, je vous en prie, croyez-moi, tout ce que l'on raconte est un tissu de faussetés. Après aujourd'hui, Herman Steenvliet ne mettra plus les pieds dans notre maison. Ce qui m'effraie, c'est de devoir dire

J'ai longtemps médité sur les chevaux de bois. Je voudrais les étudier méthodiquement. Mais la grandeur du sujet m'effraie. Et j'y découvre d'abord une grande difficulté. Si l'on s'efforce de définir les diverses sensations qui affectent douloureusement l'organisme humain on peut espérer d'y réussir. Quand nous disons par exemple qu'une douleur est aiguë ou qu'elle est sourde, qu'elle est lancinante ou fulgurante, nous nous faisons entendre assez bien. On éprouve au contraire un insurmontable embarras

Eh bien! madame la baronne, s'écria M. de La Seiglière, s'il en est ainsi, mieux vaut la ruine que la honte, mieux vaut abdiquer sa fortune que son honneur. L'exil ne m'effraie pas; j'en connais le chemin. Je partirai, je m'expatrierai une dernière fois. Je perdrai mes biens, mais je garderai mon nom sans tache. Ma vengeance est toute prête: il n'y aura plus de La Seiglière en France!

Baron Randmer, dit Bollar, vous avez le même caractère que d'Ahlefeld; prenez garde d'avoir le même sort. J'affirme, s'écria le jeune homme, que ce qui m'amuse le plus, c'est le sérieux imperturbable du capitaine Bollar. Et moi, répliqua Bollar, ce qui m'effraie le plus, c'est la gaieté intarissable du lieutenant Randmer.

L'idée de la première visite m'effraie, en effet, mon père. J'essaierai de cacher ce qui se passe dans mon cœur; je me montrerai envers lui aussi jolie, aussi aimable que possible... Mais, ô ciel, s'il s'enhardissait

Il y a une chose qui m'effraie, c'est le récit que j'ai

Je sens que vous ne me trompez pas, répondit Léonce, quoique votre inconstance m'effraie. Voyons, pouvez-vous vous engager

Tu me demandes si cette vie de château me plaît, si je ne m'en dégoûterai pas, si la solitude ne m'effraie point. La solitude! quand Jacques est avec moi! Ah! Clémence, je le vois bien, tu n'as jamais aimé. Pauvre amie, que je te plains! tu n'as pas connu ce qu'il y a de plus beau dans la vie d'une femme. Si tu avais aimé, tu ne me demanderais pas si je me trouve isolée, si j'ai besoin des plaisirs et des distractions de mon âge; mon âge est fait pour aimer, Clémence, et il me serait impossible de me plaire

Il est aussi très froid... Il m'effraie un peu... C'est mystérieux, cette arme qui dort... Un couteau, on voit le danger; on suit la pointe aiguë et la lame tranchante... Ça, rien: Il faut savoir... Je ne veux pas le conserver... Je le vendrai, dès demain... Oh! le vendre?... Je le donnerai... Eh bien! non! Je le jetterai...

Mot du Jour

orneront

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