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Mis à jour: 20 juillet 2025
Le seul ouvrage de M. de Méré qui vaille aujourd'hui la peine qu'on s'y arrête avec détail, ce sont ses Lettres; l'on en pourrait tirer un certain nombre de singulières et d'intéressantes. J'en donnerai trois ici. La première est longue; mais, je ne sais si je m'abuse, elle me paraît charmante, et elle a semblé telle
Je ne m'abuse pas sur la cause de cette courageuse résolution, je possédais un trésor de bonheur et d'espérance que rien au monde ne pouvait me ravir. Quel que fût l'avenir, mon enfant me restait: car j'avais la conviction profonde, inébranlable, que Dieu m'avait envoyé cette suprême consolation dans mes chagrins, comme une religieuse récompense de mon dévouement
Il ne me reconnaît pas! Léonard, Léonard, ne me retire pas ta main.... Regarde-moi, regarde-moi bien encore. C'est moi, c'est ta Rosalie! Sa main était dans la mienne; je la touchais, je la pressais de mes doigts agités. Sa tête, penchée sur ma figure, m'inondait de larmes. Ah! s'il est vrai que le délire ne m'abuse pas, dis-moi, apprends-moi comment il se fait que je te voie ici?
Je parie deux louis que nous allons entendre la fameuse phrase: «J'ignore si je m'abuse», dit un journaliste parlementaire; qui tient mes deux louis? Mais personne ne lui répondit, et ce fut avec raison, car le premier mot qui sortit de la bouche inspirée du député fut précisément la fameuse phrase qui planait sous la coupole du palais Bourbon: Messieurs, j'ignore si je m'abuse....
«Cependant, reprenait Camille avec tristesse, je m'abuse quand je dis que les hommes sont changés; ils ont toujours été les mêmes; la liberté de parler n'a pas été plus impunie dans les républiques anciennes que dans les modernes. Socrate, accusé d'avoir mal parlé des dieux, but la ciguë; Cicéron, pour avoir attaqué Antoine, fut livré aux proscriptions.»
«Un jour, que cet aveu m'en obtienne la grâce, J'avais salué l'aube et ton premier repas, Lorsqu'un bruit, plus léger que le bruit de mes pas, M'avertit qu'en secret quelqu'un cherchait ta trace. Ta voix devint alors plus douce de moitié. Celle qui répondait me parut suppliante, Et, si je ne m'abuse,
Oui, Jack, reprit Harry. Je ne sais si je m'abuse, mais je vois dans toute cette affaire un intérêt contraire au nôtre. J'y ai souvent songé, et je ne crois pas me tromper. Rappelle-toi la série de ces faits inexplicables, qui s'enchaînent logiquement l'un
Même cette joie semblait si peu explicable, que la jeune fille en conçut comme une vague inquiétude. Je ne m'abuse pas, fit-elle, en fixant le vieil homme de toute la force de sa pénétration, ce que je fais est d'une témérité inouïe. Je me mets en quelque sorte
Je veux prier, ma tête s'y refuse, Je veux varier, et ne puis m'exprimer, Un tintement m'inquiète et m'abuse, Je ne sais quoi me parait voltiger. Je ne vois plus. Ma poitrine oppressée Va s'épuiser pour former un soupir: Il errera sur ma bouche glacée... Je vais mourir. Par le PROFESSEUR. M. Henrion de Pensey
Il y a dans ce voeu, si je ne m'abuse, une part de chimère et une part d'exagération. L'exagération, d'abord, sera évidente pour quiconque aura bien voulu se pénétrer des développements qui précèdent. Pourquoi, en effet, rejeter en bloc une loi de réglementation industrielle dont certaines catégories d'ouvrières, et notamment les syndicats de la couture, prétendent tirer profit? En maintenant même ces mesures d'exception pour les corps de métier qui en bénéficient, il n'est pas impossible de réaliser, en certains cas, l'unification des lois de protection au profit des deux sexes. Notre législateur est entré dans cette voie, en fixant le maximum de la journée de travail
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