Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 15 juin 2025


Mais, bonsoir, vieux; il se fait tard, dans une heure il fera grand jour, il faudra que je m'éveille avec les coqs qui sonneront leur fanfare matinale, et les chiens qui se mettront

«Ah! herr wirth, cria Hâfitz, herr wirth, que se passe-t-il donc ici? D'abord une musique céleste m'éveille et me ravit dans les sphères invisibles ... puis voil

Non, certes, s'écria-t-elle avec ardeur; je suis si heureuse de prier! Oui, je le sais, cela te fait du bien et cela doit être. Mille bénédictions! Demain matin, de bonne heure, je serai ici. Vous n'aurez pas besoin de sonner deux fois. La sonnette m'éveille, même au beau milieu d'un rêve

Un matin il m'éveille: «Voulez-vous voir une trombeme dit-il. En effet, il s'en formait une

Donc, chaque soir, je monte au logis fidèlement, tantôt par les belles nuits pleines d'étoiles, tantôt sous les ondées d'orage. Et chaque matin, quand la prière chantée de madame Prune prend son vol dans l'air sonore, je m'éveille et je redescends vers la mer, par ces sentiers l'herbe est pleine de rosée fraîche.

D'où viennent ces influences mystérieuses qui changent en découragement notre bonheur et notre confiance en détresse. On dirait que l'air, l'air invisible est plein d'inconnaissables Puissances, dont nous subissons les voisinages mystérieux. Je m'éveille plein de gaîté, avec des envies de chanter dans la gorge. Pourquoi?

Moi, je me débats, lié par cette impuissance atroce, qui nous paralyse dans les songes; je veux crier, je ne peux pas; je veux remuer, je ne peux pas; j'essaye, avec des efforts affreux, en haletant, de me tourner, de rejeter cet être qui m'écrase et qui m'étouffe, je ne peux pas! Et soudain, je m'éveille, affolé, couvert de sueur. J'allume une bougie. Je suis seul.

Bonnes lettres de mes amis de Paris. Ma petite-fille Gabrielle sait dire par ballon monté, et elle m'éveille en me remettant ces chers petits papiers, qui me font vivre toute la journée. Nous allons au Coudray. Je regarde Nohant avec avidité. L'épidémie se ralentit; dans quelques jours, j'irai seule essayer l'atmosphère. Je prends quelques livres dans la bibliothèque du Coudray.

Le matin, qui annonce l'approche du jour, M'éveille pour le labeur et la douleur; Je vois, en longue série, les heures je dois souffrir, se traîner lentement; Mainte angoisse, mainte torture, Cortège affreux du souvenir, Tordront mon âme, avant que Phoebus s'abaissant Ne baise au loin la mer occidentale.

Je m'éveille et prends conscience de moi, ce matin, ma chère âme, dans une joie extrêmement douce. Vous êtes habile en l'art des compensations et celles d'hier furent des heures divines encore que parfois torturantes, encore qu'incomplètes. Mais l'abandon suprême était dans votre désir et dans votre volonté; ainsi, et en dépit des momentanés obstacles, vous êtes

Mot du Jour

n'usait

D'autres à la Recherche