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Mis à jour: 29 juillet 2025
Oh! comme vont chanter toutes les harmonies, Comme rayonneront dans les sphères bénies Les faces de clarté, Comme les firmaments se fondront en délires, Comme tressailleront toutes les grandes lyres De la sérénité,
Et j'ai vu des palais, des fêtes, des festins, Des femmes qui mêlaient leurs blancheurs aux satins, Des murs hautains ayant des jaspes pour écorces, Des serpents d'or roulés dans des colonnes torses, Avec de vastes dais pendant aux grands plafonds; Et j'entendais chanter: Jouissons! triomphons! Et les lyres, les luths, les clairons dont le cuivre A l'air de se dissoudre en fanfare et de vivre, Et l'orgue, devant qui l'ombre écoute et se tait, Tout un orchestre énorme et monstrueux chantait; Et ce triomphe était rempli d'hommes superbes Qui riaient et portaient toute la terre en gerbes, Et dont les fronts dorés, brillants, audacieux, Fiers, semblaient s'achever en astres dans les cieux. Et, pendant qu'autour d'eux des voix criaient: Victoire A jamais!
Si donc, comme le vent dont le nom te convient, Fort est le souffle saint qui t’inspire, jeune homme, Allons, au monde avide épanche les accents: A tes flambants accords les monts vont s’émouvoir Les arbres tressaillir, les torrents s’arrêter, Comme aux sons modulés sur les lyres antiques.
Cette opinion décourageante et injurieuse condamne toute originalité comme une hérésie. Elle crie que le règne des lettres est passé, que les muses se sont exilées et ne reviendront plus; et chaque jour de jeunes lyres lui donnent d'harmonieux démentis, et la poésie française se renouvelle glorieusement autour de nous. Nous sommes
Que ne puis-je l'y retrouver, pour chanter les tristesses de mon coeur et celles du coeur de tous les hommes dans cet âge inquiet, comme ce berger inspiré chantait ses espérances dans un âge de jeunesse et de foi! Mais il n'y a plus de chant dans le coeur de l'homme; les lyres restent muettes, et l'homme passe en silence, sans avoir ni aimé, ni prié, ni chanté.
Elles embrassent leurs lyres d'ivoire, interrogent les cordes sonores qui répondent une fois, vibrent un moment, s'arrêtent, et, devenues immobiles, prolongent encore je ne sais quelle harmonie sans fin que l'âme entend par tous les sens: mélodie pure comme la douce pensée d'une âme heureuse, comme le premier baiser de l'amour avant que l'amour se soit compris lui-même; comme le regard d'une mère qui caresse le berceau de l'enfant dont elle a rêvé la mort, et qu'on vient de lui rapporter, tranquille et beau dans son sommeil.
A quoi bon la ramée où ne sont plus les ailes: Qui donc attendons-nous s'ils ne reviendront pas? Ils sont partis, pareils au bruit qui sort des lyres. Et nous restons l
«Poètes, peintres et sculpteurs, s'écrie un pieux écrivain, Marie est pour nous le bel idéal de la virginité, de la maternité, le bel idéal de la femme, le type parfait et divin de la beauté créée.» C'est elle que Raphaël et Michel Ange, Fra Angelico, Titien et tant d'autres ont méditée et contemplée avec le génie de la foi; artistes modernes, prenez aussi vos palettes, vos ciseaux et vos lyres en l'honneur de la Mère de Dieu, l'étude de sa beauté a inspiré dans le passé bien des chefs-d'œuvre et doit en inspirer encore jusqu'
D'autres, nourrissons d'Apollon ou amants favorisés des Parnassides, vous ont chantés sur des lyres sonores et harmonieuses; chaque jour des lèvres s'unissent pour célébrer votre gloire dans un râle de bonheur et d'ivresse: pour moi, heureux baisers, provocateurs de la virilité, baisers petits et grands, baisers doucereux ou brutaux, légers ou profonds, langoureux ou mordants, libertins ou vitriolesques; baisers auxquels la mâleté donne toute l'expression, je veux conter vos fastes dans le prosaïsme de ma manière, détailler vos mignardises si chères aux farfadels de la passion, et annoter vos variations savantes comme un pieux dégustateur de vos innombrables fantaisies qui embéguinent ma concupiscence.
J'ai rappelé et j'ai essayé de retracer l'impression que firent en France quelques notes mélodieuses de cette lyre encore inconnue qui devait éveiller toutes les lyres; car l'auteur du Génie du Christianisme, de l'Itinéraire et des
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