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Le Chagrin a pâli le vermillon de ma jeune bouche et la Ruine a tiré les rideaux de mon lit. Mais toute cette vie tumultueuse n'a été pour toi qu'une lyre, un luth, le charme subtil de la viole ou la musique de la mer endormie, en écho minuscule dans le coquillage. Aux jours joyeux du printemps, quand les feuilles étaient vertes, oh! comme il chante gaîment, le merle!

J'ai rappelé et j'ai essayé de retracer l'impression que firent en France quelques notes mélodieuses de cette lyre encore inconnue qui devait éveiller toutes les lyres; car l'auteur du Génie du Christianisme, de l'Itinéraire et des

Le Monde vibrera comme une immense lyre Dans le frémissement d'un immense baiser: Le Monde a soif d'amour: tu viendras l'apaiser. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Elles ne pouvaient tomber sous le fer de l'industriel sans avoir été célébrées sur la lyre du poète... le poète n'était pas chez les Américains... mais franchissant l'Atlantique, l'ange de la poésie a, sur ses ailes de flamme, transporté l'Homère français sur les rives du Meschacébé.

Faites sauter les cordes de la lyre. Et vous vous répandrez par les musées. Entrez dans l'intimité de ces œuvres maîtresses, prodiges de pensée et d'émotion, et ne vous pressez pas de porter sur elles des jugements hâtifs que vous pourriez regretter plus tard. Souvenez-vous qu'une œuvre d'art est une Majesté et qu'il faut attendre qu'elle vous parle d'abord.

Doux est le murmure du ruisseau, traversant la prairie. Plus doux est ton nom, ô Marie! Douce est la plainte de la vague harmonieuse, bercée par le zéphir. Plus doux est ton nom, ô Marie! Doux est l'accord de la lyre éolienne,

Le vieil illusionniste reparut une seconde: il étendit le bras et me dit: Je la reverrai sans doute, s'il y a une autre vie, nous nous rencontrerons certainement dans Sirius ou dans la Lyre; mais ici-bas, Pierre, aussi vrai que je suis vivant

«Hélas! mon cher Thomson, je crains qu'il ne s'écoule quelque temps avant que je n'accorde ma lyre de nouveau! «Près des fleuves de Babylone etcPresque sans cesse depuis ma dernière lettre, je n'ai connu l'existence que par la pression de la lourde main de la maladie, et j'ai compté le temps par les répercussions de la souffrance.

Pour moi, quand ma mémoire évoque ton image, Je te vois l'oeil éteint par la veille et les pleurs, Sans couronne et sans lyre, et penchant ton visage Sur un lit de douleurs. Je t'entends murmurer ces simples cris de l'âme Que l'amour maternel apprend

En Thrace le sensible Orphée Chante l'amour et ses malheurs; Sa lyre lui fraye une entrée Dans le sombre manoir des pleurs. Le sort, qui d'un cardeur de laine Avait fait un législateur, Me donna la force et l'haleine, Et le talent d'être chanteur. Modeste au lit tout comme