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Mis à jour: 14 juin 2025


Les jours de distribution de prix, les lycéens ne sont pas plus heureux et plus émus que les artistes ne le sont quand un ministre ou un maréchal leur octroyé, dans une cérémonie solennelle, au nom de l'Empereur, des récompenses diverses.

Quel que soit le degré de routine et d'aveuglement atteint par la plupart des universitaires, il ne faudrait pas supposer que quelques-uns n'aient pas entrevu tout ce qu'a d'absurde le régime de surveillance tatillonne auquel sont soumis nos lycéens, mais leurs efforts pour y remédier ont toujours été rudement réprimés.

Quelle pitié notre provincial ne va-t-il pas inspirer aux jeunes lycéens de Paris qui,

«Il était une fois, reprit Georges du Quesnoy, un bachelier ès lettres qui ne savait rien de la vie, si ce n'est ce qu'on devine ou qu'on apprend dans les livres. Il n'avait pas été plus mauvais écolier qu'un autre, on avait même dit de lui, comme de tous les enfants, que c'était un prodige, parce qu'il avait fait en cinq jours une tragédie en cinq actes sur l'Enlèvement des Sabines, laquelle tragédie fut représentée, Romains et Sabines par tous les lycéens de Soissons aux applaudissements de tous les Soissonnais. Ce jour-l

Je pus lire ensuite aisément d'autres auteurs, mais toujours avec un peu de difficulté au début quand il s'agissait d'un nouvel auteur. Ce dernier point a des causes psychologiques très simples, et je ne le signale que pour montrer en passant l'intense absurdité des collections de morceaux choisis d'auteurs différents mises par l'Université dans les mains des lycéens.

On connaît la première. Les carottiers de cette catégorie sont de véritables lycéens, heureux de faire la nique

Elle ne savait rien; elle n'avait rien vu et d'ailleurs les jeunes filles ne rient pas volontiers des naïvetés qui se trouvent dans les déclarations des lycéens. La première missive de M. le comte Hector de Sabran avait été apportée, en grand mystère,

Certes non, on ne rencontre pas une telle valeur et de telles aptitudes chez nos pauvres lycéens tout effarés dès qu'ils n'ont plus un surveillant derrière eux, pour les faire marcher. Prendre un billet de chemin de fer tout seuls, pour rejoindre le domicile paternel pendant les vacances, constitue une difficulté

La tunique ne me paraît pas très convenable aux lycéens, parce que ce n'est point un vêtement civil, et qu'en la leur imposant on entreprend sans raison sur leur indépendance. Je l'ai portée, et j'en garde un mauvais souvenir.

Je passe le tic des lycéens imberbes se frisant avec obstination une moustache absente; celui des femmes de quarante ans qui ne cessent de répéter: «

Mot du Jour

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