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Mis à jour: 27 juin 2025
Vers la fin de l'Empire, je fus un lycéen distrait. La guerre était debout dans le lycée, le tambour étouffait
«Il est fâcheux, dit Max Huber, que nous ne sachions pas la langue de ces naturels!... Jamais nous ne pourrons converser ni prendre une connaissance exacte de leur littérature... Du reste, je n'ai pas encore aperçu la bibliothèque municipale... ni le lycée de garçons ou de filles!»
L'Annuaire de ce Lycée, pour l'an VI, nous apprend qu'un de ses élèves, Guyot, âgé de quatorze ans, vient d'être admis premier
Poète, il avait débuté dans les lettres par des vers adressés du lycée de Nancy
On les dorlote, on les laisse dormir la matinée (c'est de rigueur; ne faut-il pas les dédommager de se lever matin toute l'année au lycée ou
On me mit ensuite au lycée; j'étais déj
Parmi les fautes dont je me rendais le plus souvent coupable, il en était une pour laquelle j'avais un faible particulier. J'adorais la musique; et de ce goût passionné qui a déterminé le choix de ma carrière sont sorties les premières tempêtes qui aient troublé ma jeune existence. Quiconque a été élevé dans un lycée connaît cette fête chère aux collégiens, la Saint-Charlemagne. C'est un grand banquet auquel prennent part tous les élèves qui, depuis la rentrée des classes, ont obtenu dans les compositions une place de premier ou deux places de second. Ce banquet est suivi d'un congé de deux jours qui permet aux élèves de découcher, c'est-
Nous avions dîné délicieusement au petit Rocher de Cancale, établi nouvellement près du café Procope, un des plus anciens de Paris, et qui, dans le dernier siècle, était devenu une espèce de lycée où se rassemblaient les plus célèbres littérateurs du temps, attirés par la comédie française, qui se trouvait en face .
Oui, on parlera de moi... Quand? Bientôt... A propos de quoi? Je l'ignore. Mais on parlera de moi, cela est certain. Oh! mon rêve! oh! mon but!... Depuis le lycée je végète, je suis perdu dans la foule, je languis ignoré et obscur... Depuis dix années je ronge mon frein, attendant cette fortune que j'aurais la force de mépriser si elle ne devait être l'instrument, le levier de ma gloire. Oui, être un des hommes que le monde admire et salue, entendre mon nom voler de bouche en bouche, sentir au passage le regard curieux et intimidé du passant, lire
Il y avait maintenant près de dix ans que je n'avais vu Lucien Thibaut. Ma famille était de Paris, la sienne habitait le pays de Caux, où son père avait occupé un emploi de magistrature. Sa mère, restée veuve avec deux filles, y jouissait d'une modeste aisance. Nous avions fait nos études ensemble au lycée Bourbon.
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