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Mis à jour: 24 juillet 2025


«Le premier, monsieur de Mesnard, disait au général Bugeaud que la branche aînée avait laissé tomber la couronne et que Louis-Philippe n'avait fait que la ramasser. «Oui, lui répondit le général; mais nous l'avons attachée sur sa tête, et nous saurons nous battre pour la lui maintenirLe propos est un peu militaire, mais il faut convenir qu'il est vrai et surtout bien adressé.

Indépendamment des révolutions de l'Occident, l'empereur Nicolas, peu de mois avant les entrevues de Theresienstadt, de Schwedt et de Münchengaetz, avait trouvé en Orient, contre le gouvernement du roi Louis-Philippe, un nouveau sujet d'irritation. La lutte entre la Porte ottomane et le pacha d'

Dans cette affaire, comme dans toutes leurs relations avec le gouvernement du roi Louis-Philippe, les trois puissances du Nord, et

Quoi! ces expériences redoutables qui dévorent les rois, les princes, le faible comme Louis XVI, l'habile et le fort comme Louis-Philippe, ces expériences lamentables qui dévorent les familles nées sur le trône, des femmes augustes, des veuves saintes, des enfants innocents, vous n'en avez pas assez! il vous en faut encore.

»Pour la tranquillité de la France, il est de la plus haute importance que la question belge soit entièrement terminée. Louis-Philippe m'a dit lui-même, et avec raison, que la confiance ne renaîtra en France que quand on aura vu cette conclusion. »Les témoignages que vous donnez

Ils y gagnaient de connaître le nom des agitateurs, s'ils étaient vainqueurs. Si, au contraire, ils étaient vaincus, ils pouvaient se targuer, auprès du nouveau pouvoir, d'une sorte de complicité tacite. Tous les deux ayant trahi Charles X pour Louis-Philippe Ier, étaient prêts

Dès que la question s'éleva, le roi Louis-Philippe prouva, par ses résolutions et son langage, sa ferme et patriotique prévoyance. La tentation était grande, pour lui, d'écouter complaisamment l'intérêt de sa propre famille; le voeu dominant en Espagne, dans l'esprit de la reine Christine comme dans tout le parti modéré et dans les rangs de l'armée espagnole, appelait au trône de Madrid un de ses fils, spécialement M. le duc d'Aumale. Le roi repoussa constamment cette idée. C'était sa résolution générale de ne donner aux jalousies de l'Europe, surtout de l'Angleterre, aucun motif spécieux. Il avait d'ailleurs peu de confiance dans l'état politique de l'Espagne et ne voulait pas avoir

Deutz avait promis de vendre Madame au gouvernement de Louis-Philippe. Quand il avait fait ce marché, rien ne s'opposait

Il est évident, pour tout Français raisonnable et instruit, que l'intérêt bien entendu de la France était de ne pas se séparer de l'alliance, afin d'influer d'une manière importante sur les décisions du conseil européen. M. Guizot s'est laissé tromper et a été dupe de l'Angleterre. Sa suffisance naturelle l'a mal inspiré. Nul doute que Louis-Philippe, informé de la résolution des puissances d'agir séparément, ne se fût rattaché

Les vieux politiques de ce temps, les vieux orléanistes retournés, comme R... et S... qui n'avaient vu que la cour citoyenne du roi Louis-Philippe et le profil vertueux et rèche de la reine Marie-Amélie, dans l'atmosphère sensuelle de la cour impériale, sous le charme des coquetteries de l'Impératrice, semblent galvanisés d'un dévouement érotique.

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