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Mis à jour: 11 juillet 2025
Ou je suis une imbécile, je ne sais pas lire, je n'ai jamais rien vu, rien compris, rien apprécié, dans mon pays, ou le socialisme, en général, a combattu de toutes ses forces le matérialisme inoculé au peuple par les tendances bourgeoises orléanistes.
IVº Je ne sais rien des pamphlets préparant des annexions nouvelles. Une des graves erreurs des journaux anglais est de s'imaginer qu'il n'y a pas en France de liberté de la presse. On imprime dans les journaux, et surtout dans les livres, mille billevesées tous les jours. Les orléanistes et les carlistes ont leurs organes, et ils vont très loin. Croyez que le gouvernement est tout
Les orléanistes, les rouges et les carlistes se donnent beaucoup de mouvement pour les prochaines élections, et presque partout les trois partis se coalisent. Cela ne fait honneur
«Votre Majesté ne se figure pas, disait encore Despomelles en parlant de ces brochures, du merveilleux effet qu'a produit sa proclamation et toutes les pièces trouvées sur Brottier. Cela lui a conquis une foule de partisans, et les orléanistes grincent des dents. Pour propager cet effet, Sourdat et moi, nous faisons imprimer quinze cents exemplaires pour les répandre
Raoul Duval reprend la parole, parle de l'alliance des Orléanistes avec Gambetta, et comme il témoignait son étonnement au tribun, et lui disait qu'il avait bien certainement en poche quelque coup de Jarnac, pour les anéantir, Gambetta lui fit un signe affirmatif, et d'un bout de son doigt, se touchant le creux de l'estomac, imita, en polichinellant, le couic tragique des acteurs en bois.
Ulysse ne parlait jamais politique, mais Nestor, lui, ne se gênait pas pour faire étalage de ses opinions orléanistes. Quelquefois, en rentrant, Nestor s'arrêtait chez M. Vaugros le chapelier, ou chez la belle madame Ravine l'épicière. On l'accusait même tout bas de faire la cour
Cependant mon attachement chevaleresque pour les Bourbons, récemment rentrés de l'exil sur le trône, me faisait souffrir de l'esprit d'amère opposition qui régnait dans ce salon et qui caressait trop, selon moi, les tendances orléanistes. Je ne savais pas même, pour plaire, feindre par complaisance une hostilité que je n'éprouvais pas contre la cour. Je trouvais cette hostilité déplacée. Les Bourbons de la branche aînée n'avaient certes pas démérité des héritiers de M. Necker, du maréchal de Broglie et de madame de Staël. Cette aigreur du ton et cette amertume ironique des lèvres corrompaient pour moi l'agrément de ce salon; en y coudoyant M. de Lafayette, M. Benjamin Constant, tous les tribuns, tous les publicistes, tous les pamphlétaires du temps, je m'y sentais presque en pays ennemi; j'avais du goût pour les maîtres, aucun goût pour leur société. L'épigramme perpétuelle contre ce que j'aimais me blessait au coeur; c'était un salon de la Ligue, où les princes jouaient
Les vieux politiques de ce temps, les vieux orléanistes retournés, comme R... et S... qui n'avaient vu que la cour citoyenne du roi Louis-Philippe et le profil vertueux et rèche de la reine Marie-Amélie, dans l'atmosphère sensuelle de la cour impériale, sous le charme des coquetteries de l'Impératrice, semblent galvanisés d'un dévouement érotique.
M. de Persigny, chargé de la noble mission de réparer, de consoler, d'apaiser, et joyeux d'en être chargé, j'en suis certaine, appréciera mon sentiment et ne voudra pas que son nom, celui du prince auquel il a dévoué sa vie, soient le drapeau dont Les légitimistes et les orléanistes (sans parler des ambitieux qui appartiennent
Ici, il n'y a d'agitation religieuse que dans quelques salons. Vous ne serez pas surpris que la plupart de nos amis orléanistes soient les champions du pouvoir temporel de Sa Sainteté. Il est difficile de faire une plus lourde sottise; mais ils sont habitués
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