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A l'heure le soleil rouge du soir s'enfonce derrière le Lac des Lotus, mes deux serviteurs, comme d'habitude, viennent me chercher. Mais, le Pont de Marbre franchi, nous passons cette fois sans nous arrêter devant la brèche qui mène

J'ai marché, marché, et voici les fossés aux lotus, avec le pont de sortie que gardent les serpents

L'ENFONCEMENT DU CLOU. Une des jambes de la femme est sur la tête de l'homme et l'autre est étendue de côté. LA POSITION DU CRABE. Les deux pieds de la femme sont tirés et placés sur son estomac. LE PAQUET. La femme lève et croise ses cuisses. LA FORME DU LOTUS. Dans cette position, la femme croise ses jambes l'une sur l'autre, en tenant les cuisses écartées.

«O toi, souverainement belle entre toutes les femmes, tes lèvres sont une fleur du bandhujiva; la pourpre du madhura flamboyant rayonne sur ta joue; ton oeil éclipse le lotus bleu; ton nez est un bouton de tila. L'ivoire de tes dents surpasse en blancheur la fleur du chanda. C'est

Dans le ruisseau d'eau courante et claire, la pauvresse lava tout avec soin, même la boîte et ses roulettes; les détritus de Kaka-San allèrent féconder les fraîches plantes qui poussaient le long de la rive et les lotus superbes dont les premiers boutons commençaient

La cueilleuse de lotus est bien née, comme l'indique sa chevelure nattée avec soin et la jupe plissée dont elle est habillée. Les dames thébaines étaient vêtues de long, et celle-l

L'acanthe et le lotus ouvrant sa fleur de pierre Comme un lis séraphique au jardin de lumière; En bas, l'arc surbaissé, les lourds piliers saxons; Les chevaliers couchés de leur long, les mains jointes, Le regard sur la voûte et les deux pieds en pointes; L'eau qui suinte et tombe avec de sourds frissons.

Le lac jadis invisible, le Lac des Lotus qui doit être en effet, durant la saison des fleurs, le merveilleux champ de calices roses décrit par les poètes de la Chine, ne représente plus, en cette fin d'octobre, qu'un triste marécage, recouvert de feuilles roussies, et duquel monte

Elle part, elle se pose, Apparaît dans un éclair Et fuit, dédaignant la rose Pour le lotus froid et clair. À la fois puissante et libre, Soeur du vent, fille du ciel, Son aile frissonne et vibre Comme le luth d'Ariel. Fugitive, transparente, Faite d'azur et de nuit, Elle semble une âme errante Sur l'eau qui dans l'ombre luit.

Et voici ce que je croyais entendre ma hache me dire dans la cadence des coups retentissants: Coupe par le pied la Forêt tout entière! Détruis toute la Forêt du Mal, Dont les sentences furent jetées en toi par des souffles de mort, jadis! Détruis en toi l'amour de Toi-même! Détruis et arrache le mal, comme, en automne, on coupe avec la main la fleur du lotus.