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«N'outrageons pas, par un commentaire indiscret, tant de charmantes visions des tombeaux, Mme Henriette ou Mme de Longueville, Marie Touchet ou Mlle de Romans. Vous savez votre histoire des rois de France, rois qui règnent sous le gouvernement de leurs femmes ou de leurs maîtresses. L

Aux ardeurs, aux hauteurs d'orgueil d'une Montespan, elle unissait sous l'apparence paresseuse de son corps les énergies et les ambitions viriles d'une Longueville.

Eh bien! je ne vous eus pas plutôt quitté, que je me repentis. J'ai toujours été avide de m'instruire, vous savez que Mme de Longueville est un peu comme moi, n'est-ce pas? Je ne sais, dit Aramis discrètement.

BOYET. Fier de cet emploi, je pars plein de bonne volonté. LA PRINCESSE. Tout orgueil est plein de bonne volonté, et le vôtre est tel. UN SEIGNEUR. Longueville en est un, madame. LA PRINCESSE. Le connaissez-vous?

Une lettre du magnifique Armado! BIRON. Quelque mince qu'en soit le sujet, j'espère, par la grâce de Dieu, de sublimes paroles. LONGUEVILLE. Beaucoup d'espérances pour peu de choses! Dieu veuille nous donner la patience. BIRON. D'écouter ou de nous abstenir d'écouter. LONGUEVILLE. D'écouter patiemment, monsieur; et de rire modérément; ou de nous abstenir de l'un et de l'autre.

[Note 73: Henri II de Savoie avoit épousé, le 22 mars 1657, Marie d'Orléans-Longueville, fille de Henri II de Longueville, née le 5 mars 1625, morte bien tard, en 1707, le 16 juin. Elle figure parmi les précieuses sous le nom de Nitocris (Prét., t. 2, p. 308). Elle aimoit les romans de chevalerie. C'est

CATHERINE. Mais ne le jurez pas, de crainte d'un second parjure. LONGUEVILLE. Et que dit Marie? MARIE. A la fin des douze mois révolus, j'échangerai ma robe de deuil contre un fidèle ami. LONGUEVILLE. J'attendrai avec patience; mais le terme est bien long. MARIE. Il vous en ressemble mieux; il est peu de jeunes cavaliers plus longs, plus grands que vous. BIRON. Ma belle Rosaline médite-t-elle?

La décharge éclata. Un vent de mort passa sur la troupe des gentilshommes et fit tomber les plus hardis. Les chevaux de M. de Longueville et de M. de Pomereux sautèrent par-dessus la palissade, et les deux braves jeunes gens, atteints ensemble, roulèrent dans les rangs hollandais, ouverts par leur élan.

Ainsi, dit Mme de Longueville, vous considérez, monseigneur, comme ne pouvant tarder, la mort du roi votre frère. La princesse Marie ne parlait point, mais comme son coeur, en ne parlant pour personne, laissait germer l'ambition dans sa jeune tête, elle ne perdait point une parole de ce que disait Monsieur.

LA PRINCESSE. Mal de coeur peut-être? CATHERINE. Oui, d'honneur. LA PRINCESSE. Va-t'en, mal de coeur toi-même. ROSALINE. Allons, on trouverait aisément de meilleurs esprits parmi les docteurs en bonnet selon les statuts . Mais, savez-vous une chose? Le roi a juré qu'il était amoureux de moi. LA PRINCESSE. Et le subtil Biron m'a engagé sa foi. CATHERINE. Et Longueville était pour me servir.