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Mis à jour: 25 juin 2025


Un moment, on entend Coppée, dont le ricanement de la voix prend quelque chose de la pratique de Polichinelle: «Oh les jeunes! je me rappelle, moi, mes premières visites chez Leconte de Lisle... je m'y rendais comme on va

Reconnaissons pourtant que les littérateurs qu'il étudie comme les plus parfaits représentants de l'art dans la seconde moitié du XIXe siècle, sans former un groupe parfaitement distinct, offrent quelques caractères communs, dont le plus saillant est peut-être le trouble profond des nerfs. Je ne parle ni de M. de Banville ni de M. Leconte de Lisle. Mais Flaubert, on le sait, était épileptique. Baudelaire est mort atteint d'aphasie, Jules de Goncourt a succombé tout jeune

Je ne crains point de prédire, en outre, qu'il y aura dans le discours du poète un morceau sur le moyen âge. Je devine que ce morceau sera concis et violent. Je le ferais, au besoin, et il n'y manquerait que le talent. M. Leconte de Lisle poursuit le moyen âge de sa haine. Et, comme c'est une haine de poète, elle est très grande et très simple. Elle ressemble

À Winchester, la vénérable et si honorée lady Alice Lisle fut condamnée par le grand juge Jeffreys

Secrétaires: MM. Laurent Pichat, Leconte de Lisle, Félicien Mallefille, Paul de Saint-Victor, Thoré. La présidence vous a été décernée

On a bien vu, par exemple, qu'il m'arrivait parfois de me contredire. Il y a peu de temps, un excellent esprit, M. Georges Renard, a relevé quelques-unes de ces contradictions avec une indulgence d'autant plus exquise qu'elle feignait de se cacher. «M. Leconte de Lisle, avais-je dit un jour, doute de l'existence de l'univers, mais il ne doute pas de la bonté d'une rimeEt M. Georges-Renard n'a pas eu de peine

«M. de Lamartine, écrivait Leconte de Lisle en 1864, a fait mieux que les Méditations et que Jocelyn, mieux que les Harmonies: il a écrit la Chute d'un ange. Mon sentiment

Il me lut plusieurs scènes de cette tragédie et j'en fus aussitôt enthousiasmé. Ah! quelles splendides répétitions! Dirigées par le célèbre artiste Brindeau, alors régisseur général de l'Odéon, elles étaient présidées par Leconte de Lisle, en personne.

Il était dit, cependant, que je ne devais pas rester dans le néant, que je finirais par percer la nue qui obscurcissait ma route. Un homme, un admirable ami, Duquesnel, alors directeur de l'Odéon, sur les instances de mon éditeur Hartmann, me fit venir dans son cabinet, au théâtre; il me demanda d'écrire de la musique de scène pour la tragédie antique: Les Erinnyes, de Leconte de Lisle.

Ainsi se tiennent les éléments de l'œuvre de M. Leconte de Lisle le choix des sujets et la manière de l'artiste s'expliquant par un pessimisme originel. Ce qui est au fond, c'est un sentiment de révolte contre le monde mauvais et contre l'inconnu inaccessible, sentiment douloureux que vient apaiser la curiosité critique et esthétique et qui se résout enfin dans une étude sereine de l'histoire et de la nature pittoresque. Qu'il y ait quelque affectation dans ce détachement du poète, dans cette indifférence finale pour tout ce qui n'est pas un spectacle aux yeux, cela est possible, et je ne songe point

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