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Au temps de la guerre de 1744 M. Duquesnel était gouverneur du Cap-Breton, et M. Bigot commissaire-ordonnateur. L'on connaît peu de chose sur le premier;

Quand, vers la vingtième représentation du Bâtard, Chilly et Duquesnel sont venus me demander de laisser passer, après le Bâtard, qui fournirait encore, selon eux, vingt-cinq ou trente représentations une: petite ordure (textuel) qui devait avoir au plus dix représentations, j'ai consenti; j'ai eu tort, j'ai manqué de prévoyance. On ne m'avait pas dit que cette pièce eût un certain mérite et que Berton en jouait le principal rôle. A présent, les choses se passent de façon

Le gouverneur, M. Duquesnel, qui connaissait l'état de l'Acadie, que l'Angleterre abandonnait, comme avait fait la France,

Duquesnel avait mis

Il était dit, cependant, que je ne devais pas rester dans le néant, que je finirais par percer la nue qui obscurcissait ma route. Un homme, un admirable ami, Duquesnel, alors directeur de l'Odéon, sur les instances de mon éditeur Hartmann, me fit venir dans son cabinet, au théâtre; il me demanda d'écrire de la musique de scène pour la tragédie antique: Les Erinnyes, de Leconte de Lisle.

Ce cri poussé, le rideau se leva, roulant sur sa tringle: V'lan! ça y est, fit Duquesnel en me frappant sur l'épaule. Je le regardai; Duquesnel n'est pas une bête: il avait dans le regard cette étincelle de malice qu'allume aux yeux expérimentés la contemplation d'un jobard. V'lan! ça y était: les acteurs parlaient; Porel traînait