Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 2 juin 2025
Un homme rempli d'histoires qu'il tire comme de tiroirs, et qu'il raconte sans chaleur et avec le même accent, ainsi qu'il lirait un procès-verbal. Sans goût littéraire, mais fureteur sagace, intelligemment curieux, le seul homme,
Paris, lundi 28 octobre 1861. Cher Louis, Si je ne savais pas quelle détestable influence le chagrin peut avoir sur les meilleurs caractères, je serais capable de te répondre de tristes vérités; tu m'as blessé au coeur et atrocement, et avec un sang-froid que dénote le choix de tes expressions. Mais je t'excuse et je t'embrasse; tu n'es pas, malgré tout, un mauvais fils. Quelqu'un qui lirait ta lettre sans rien savoir de notre position
«...Je dis et je pense qu'il n'est qu'un vrai malheur: c'est de ne pas satisfaire toutes nos facultés, en un mot toutes les fois que nous le pouvons, fallût-il même de pénibles sacrifices. Quelqu'un qui me lirait s'imaginerait que je me fais de la morale; mais toi, tu m'entends, tu me comprends. Es-tu d'accord de ce que je viens de dire l
Un peu fatigué de la longue tirade du marquis, dont le but était certainement de faire valoir les beautés naturelles de sa propre terrasse, qui, malgré son état de dilapidation, n'avait pas besoin d'une recommandation si solennelle, j'informai mon ami que je venais de recevoir d'Angleterre le journal d'un voyage fait dans le midi de la France par un jeune étudiant d'Oxford, mon ami, poète, dessinateur, et fort instruit, dans lequel il donne une description intéressante et animée du château de Grignan, demeure de la fille chérie de madame de Sévigné, et où elle résidait elle-même fréquemment. J'ajoutai que quiconque lirait cette relation, et ne serait qu'
L'idée que ma mère lirait mon crime me rendait un peu penaud. A ce moment, ma mère entra, elle vit ma confusion, mais aussitôt qu'elle en connut la cause, elle m'embrassa et me dit: «Tu as agi en honnête homme, je te pardonne, mais ce n'est pas une raison, toutefois, pour recommencer
..... J'ai lu l'article de M. Clément sur les Harmonies. Si je croyais une controverse utile, je l'accepterais; mais qui la lirait? M. Clément a l'air de penser que c'est manquer de respect
Alors, Nana, tout de suite, entama la Faloise. Il postulait depuis longtemps l'honneur d'être ruiné par elle, afin d'être parfaitement chic. Cela lui manquait, il fallait qu'une femme le lançât. En deux mois, Paris le connaîtrait, et il lirait son nom dans les journaux. Six semaines suffirent. Son héritage était en propriétés, des terres, des prairies, des bois, des fermes. Il dut vendre rapidement, coup sur coup. A chaque bouchée, Nana dévorait un arpent. Les feuillages frissonnant sous le soleil, les grands blés mûrs, les vignes dorées en septembre, les herbes hautes où les vaches enfonçaient jusqu'au ventre, tout y passait, dans un engloutissement d'abîme; et il y eut même un cours d'eau, une carrière
« Tout ce que je connais est dans un délire qui doublera les forces de l'armée. Je suis sûre qu'un homme en vaudra quatre.» Et nous continuâmes sur ce ton pendant presque deux heures. À travers les mots de gloire, de guerre, il jeta aussi de temps en temps dans la conversation le mot de constitution. Carnot m'avoua même qu'il s'occupait d'un grand travail sur ce sujet, qu'il me serait obligé si je voulais revenir le voir, qu'il m'en lirait l'introduction. Montrer un pacte social
Vendredi 3 octobre. Il y a eu chez Hugo, dans le règlement de sa vie un méthodisme incroyable. Le jour tombé, il ne lisait pas, aux lumières, une ligne d'un journal, une ligne même d'une lettre: il la mettait dans sa poche, disant qu'il la lirait le lendemain. Et Mme Lockroy, nous racontait, ce soir, qu'au commencement de la guerre, où tout le monde haletait après les nouvelles, un jour de brouillard, où les journaux étaient arrivés
Que si, de son mystérieux séjour, la chère sainte peut encore discerner ce qui se passe sur notre petite planète, elle sera sans doute surprise tout d'abord de voir son manuscrit ouvert au grand jour de la publicité; car vous le savez, ma Révérende Mère, c'est «pour vous seule» qu'elle y avait consigné, au courant de sa pensée et de sa plume, ou, comme elle disait, «au courant de son cœur», ces mille détails intimes de la vie de la famille ou de la vie du cloître, devant lesquels elle eût peut-être reculé, si elle eût pu deviner que le public les lirait un jour.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche