Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 12 juillet 2025
C'est la soif qui toujours est ivre, 4557 Ivresse qui de soif s'enivre, Tristesse gaie, amer bonheur; Amour, c'est liesse en fureur, Doux mal, douceur malicieuse, Douce saveur mal savoureuse; Un adorable et saint péché, De péché saint acte entaché; C'est une peine délectable, C'est férocité pitoyable , C'est le jeu toujours inconstant,
Ung vray amant ne sçayt qu'il face Mais va tousjours de place en place Sans chemin ne sente tenir Quant il doit arrester il passe Courant tousjours passe et rapasse Sans ung propoz entretenir Tousjours erre et en errant Sans trouver secours ne garant D'amours n'auroit la grefve playe Qui luy abolit tout joye Quant il ne peult trouver adresse En cheminant l'oblique voye Qui totalement le desvoye Tant qu'il n'y a point de liesse
Un jour qu'il se sentait en humeur de guerroyer, Attila, dit le poëme, fait plier ses tentes et marche du côté du Rhin. Ghibic, roi des Franks, célébrait alors dans Worms, sa capitale, la naissance de son fils aîné Gunther; tout le pays était en liesse, quand le bruit se répand subitement qu'une armée «nombreuse comme les étoiles du ciel, serrée comme les grains de sable du Rhin», approche en remontant le Danube. Les chefs des Franks courent au conseil. «Que faut-il faire? demande le roi. Proposer la paix, répondent ceux-ci d'une commune voix. Si l'ennemi nous tend la main, nous la lui tendrons aussi; nous lui donnerons des otages et nous lui paierons tribut. Mieux vaut céder au roi des Huns que de risquer d'un seul coup nos vies, notre patrie, nos enfants et nos femmes.» Ghibic va donc au-devant d'Attila avec de riches cadeaux et un otage de noble sang; comme il ne peut offrir son propre fils Gunther, «qui a besoin de sa mère», dit le poëte, son choix s'est porté sur Hagen, adolescent de haute lignée, sorti de la vraie race des Troyens. Le roi des Huns accepte les présents et l'otage, accorde la paix et se dirige
Ne m'espargniez donc en rien de rudesse, Je vous feray bien brief apparcevoir Qu'aura y secours d'un Confort de liesse; Longtemps ne puis en ce point remanoir, Pour ce je metz du tout
[p.57] Lui avait tout de roses fait 859 De ses mains un beau chapelet. Savez-vous quelle était sa mie? Liesse qui ne le hait mie, La gente et joyeuse aux doux chants. A lui dès l'âge de sept ans D'amour elle donna le gage. Déduit la prend au doigt, l'engage A la karole, et chaque amant Moult s'enlace amoureusement. Il était beau, elle était belle, Et bien semblait rose nouvelle A voir son teint vermeil et clair: La moindre épine
Rendez compte, etc. Tout vous est en destresse, Desormais chier vendu. Rendez compte, etc. Des tresors de liesse Vous sera peu rendu, Riens qui vaille ung festu; N'avez plus que sagesse. Rendez compte, etc. Mais que mon mal si ne m'empire, Je suis en bon point, Dieu mercy, Ne n'ay ne douleur, ne soucy De chose que on me puisse dire.
Je ne me scay en quel point maintenir, Ce premier jour de May plein de liesse; Car d'une part puis dire sans faillir Que, Dieu mercy, j'ay loyalle maistresse, Qui de tous biens a trop plus qu'
On voit le riche en grant liesse Mener joye et felicité Qui par deffaulte de richesse Soulloit plourer en povreté Cellui aussi qui a esté Mille fois a pié par les champs Par art estre a cheval monté Art a fait mille bons marchans Quod donare sibi minime potuere parentes hoc excersenti jam dabit officium
Mon cueur est devenu hermite En l'ermitaige de Pensée; Car Fortune la tres despite Qui l'a hay mainte journée, S'est nouvellement aliée, Contre lui, avecques Tristesse, Et l'ont banny hors de liesse; Place n'a où puis demourer, Fors ou bois de Merencolie, Il est content de s'y logier; Si lui dis je que c'est folie.
Je n'ay eu ne mal, ne grevance, Dieu mercy, mais suis sain et fort, Et passe temps en esperance Que paix, qui trop longuement dort, S'esveillera, et par accort A tous fera liesse avoir; Pour ce, de Dieu soient maudis Ceux qui sont dolens de veoir Qu'encore est vive la souris.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche