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Mis à jour: 22 juin 2025
»J'ai reçu hier une lettre de Murray. Des falsificateurs viennent de publier deux nouveaux troisièmes chants de Don Juan. Que le diable châtie l'impudence de ces coquins de libraires! Peut-être ne me suis-je pas bien expliqué. Il m'a dit que la vente avait été forte: douze cents in-quarto sur quinze cents, je crois; ce qui n'est rien, selon moi, après avoir vendu treize mille exemplaires du Corsaire, dans un seul jour. Mais il ajoute que les meilleurs juges, etc., etc., disent que cela est très-beau, très-spirituel, que la pureté du langage et la poésie en sont surtout remarquables, et autres consolations de ce genre, qui, pour un libraire, n'ont pas la valeur d'un seul exemplaire; et moi, comme auteur, naturellement je suis d'une colère de diable du mauvais goût du siècle, et je jure qu'il n'y a rien
»Songez que je ne veux point me mêler de cette affaire, sinon pour vous assurer la propriété de mes oeuvres. Je n'aurai jamais de marché qu'avec les libraires anglais, et je ne désire aucun honoraire hors de ma patrie.
[Note 301: Les boutiques des libraires servoient souvent alors de centres de réunions où se tenoient des espèces d'assemblées littéraires, et où même les auteurs lisoient leurs oeuvres. Ainsi, dans le Berger extravagant (l. 3), Sorel fait lire
»Quand doit paraître votre ouvrage, ce poème des poèmes? J'ai appris que la E. R. avait déchiré la Christabel de Coleridge, et s'était déclarée contre moi pour l'avoir louée. Si j'en ai dit du bien, c'est, en premier lieu, parce que j'en pensais; secondement, c'est que Coleridge était dans le malheur, et qu'après avoir fait pour lui le peu que j'ai pu pour lui procurer l'essentiel, j'ai cru que l'aveu public de la bonne opinion que j'avais de son ouvrage pourrait lui être encore de quelqu'utilité, du moins auprès des libraires. Je suis très-fâché que J * l'ait attaqué, car le pauvre diable en souffrira moralement et du côté de la bourse. Quant
Aujourd'hui, le romancier américain est bien déchu de son ancienne popularité: le nombre de ses lecteurs diminue d'année en année; bientôt même les libraires français ne feront plus les frais d'une traduction. Ce n'est pas que M. Fenimore Cooper ait perdu le talent qu'il possédait autrefois, mais le public se lasse de lire perpétuellement la même histoire.
3º Rue du Foin. Dans cette rue était le collége de maître Gervais, «souverain médecin et astrologien du roi Charles V.» Ce collége était devenu une caserne d'infanterie qu'on vient de détruire. On y trouvait encore la chambre syndicale des libraires et imprimeurs, établie en 1728. C'est dans cette chambre que, deux fois par semaine, on apportait de la douane toutes les balles de livres et d'estampes qui arrivaient
»Or, sur ces dix mille auteurs, il y a présentement dix-neuf cent quatre-vingt-sept poètes, tous vivans en ce moment, quels que soient devenus leurs ouvrages, ce que leurs libraires savent bien; et parmi eux il y en a plusieurs qui possèdent une bien plus grande réputation que la mienne, quoique considérablement moindre que la vôtre. C'est
Sa forte voix sonnait, faisait retourner le monde tout le long du quai. Quelques-uns le reconnaissaient, prononçaient le nom d'Astier-Réhu. Sur le pas de leurs boutiques, les libraires, les marchands de curiosités et d'estampes, habitués
Vous savez que le premier billet échoit dans quatre jours.» Jacques répondit sans s'émouvoir: «J'y ai songé... Dès demain j'irai faire ma tournée chez les libraires. Ils ont de l'argent
[Note 43: Le règlement donné aux libraires en 1649 se plaint fort vivement de l'incorrection habituelle des livres publiés
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