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Mis à jour: 1 octobre 2025
Je pris le parti d'envoyer chercher sur-le-champ M. Lescaut. Il me conseilla d'aller
Mon histoire, dit Léon, n'est pas plus égyptienne que Manon Lescaut. Notre bon docteur Martout, ici présent, doit connaître le nom du professeur Jean Meiser de Dantzig; il vivait au commencement de notre siècle, et je crois que ses derniers ouvrages sont de 1824 ou 1825.
M. Lescaut me présenta, le soir même, comme un de ses parents; il ajouta que j'étais d'autant mieux disposé
Heilbronn venait de me rappeler la dédicace écrite sur le premier ouvrage que j'avais fait, et dans lequel elle avait paru pour la première fois sur la scène. Chantez-vous encore? Non! Je suis riche, et pourtant, vous le dirai-je? le théâtre me manque; j'en suis hantée. Ah! si je trouvais un beau rôle! J'en ai un: Manon! Manon Lescaut? Non: Manon... Cela dit tout: Puis-je entendre la musique?
Vous dites, monsieur, que la haine du mariage est le but de tous mes livres. Permettez-moi d'en excepter quatre ou cinq, entre autres Lélia, que vous mettez au nombre de mes plaidoyers contre l'institution sociale, et où je ne sache pas qu'il en soit dit un mot. Lélia pourrait aussi répondre, entre tous mes essais, au reproche que vous m'adressez de vouloir réhabiliter l'égoïsme des sens, et de faire la métaphysique de la matière. Indiana, ne m'a pas semblé non plus, lorsque je l'écrivais, pouvoir être une apologie de l'adultère. Je crois que dans ce roman (où il n'y a pas d'adultère commis, s'il m'en souvient bien), l'amant (ce roi de mes livres, comme vous l'appelez spirituellement) a un pire rôle que le mari. Le Secrétaire intime a pour sujet (si je ne me trompe pas absolument sur mes intentions) les douceurs de la fidélité conjugale. André n'est ni contre le mariage, ni pour l'amour adultère. Simon se termine par l'hyménée, ni plus ni moins qu'un conte de Perrault ou de madame d'Aulnoy; et enfin dans Valentine, dont le dénoûment n'est ni neuf ni habile, j'en conviens, la vieille fatalité intervient pour empêcher la femme adultère de jouir, par un second mariage, d'un bonheur qu'elle n'a pas su attendre. Dans Leoni, la question du mariage n'est pas plus en jeu que dans Manon Lescaut, dont j'ai essayé, dans un but tout artistique, de faire une sorte de pendant, et où certes l'amour effréné pour un indigne objet, la servitude qu'un être corrompu dans sa force impose
Nous nous éloignâmes. Lescaut me demanda s'il n'avait pas entendu tirer un pistolet. C'est votre faute, lui dis-je; pourquoi me l'apportiez-vous chargé? Cependant je le remerciai d'avoir eu cette précaution, sans laquelle j'étais sans doute
Quelques ouvrages encore sur ce bureau, les livres familiers, enseigne de l'esprit et du coeur de la femme: Musset, Manon Lescaut, Werther; et, pour montrer qu'on n'était pas étranger aux sensations compliquées et aux mystères de la psychologie, les Fleurs du mal, le Rouge et le Noir, la Femme au XVIIIe siècle, Adolphe.
Nana offre un exemple éclatant de cette simplification. Qu'est-elle qu'une conception a priori, la plus générale et par suite la moins ragoûtante, de la courtisane? Nana n'est point une Manon Lescaut ou une Marguerite Gautier et n'est point non plus une Mme Marneffe ou une Olympe Taverny. Nana est une belle bête au corps magnifique et malfaisant, stupide, sans grâce et sans coeur, ni méchante ni bonne, irrésistible par la seule puissance de son sexe. C'est la «Vénus terrestre» avec de «gros membres faubouriens». C'est la femme réduite
J'avais oublié la petite dame et ma vengeance; hier cependant je rencontre (elle était chez Chamfort!) une commère en rabat-joie, une belle parleuse en sentences, en révérences, en bons mots bien choisis... Bon! me dis-je, elle tient son pied de boeuf, et moi je tiens ma pédante. Aussitôt je fais l'aimable et je prends ma douce voix! Je plaisante, je plais, on me dit: «Laisse-moi, je te prie!» on s'en va, je propose ma voiture: or, je n'avais pas de voiture, et nous prenons bel et bien un fiacre, un méchant fiacre... Elle allait en fiacre aussi, la belle et charmante Manon Lescaut. Nous allons, alors les stores baissés, je me garde bien de viser
Ces pensées me remirent un peu le coeur et la tête. Je résolus d'abord d'aller consulter M. Lescaut, frère de Manon. Il connaissait parfaitement Paris, et je n'avais eu que trop d'occasions de reconnaître que ce n'était ni de son bien ni de la paye du roi qu'il tirait son plus clair revenu. Il me restait
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