Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 1 juin 2025


Ils se dirigèrent vers Anvers. Chemin faisant, ainsi qu'il l'avait promis, le petit homme leur raconta d'abord sa propre odyssée, puis ce qu'il savait de l'intervention du baron de Chartille dans les affaires de la marquise, la mort de Lavenay, le service funèbre, et enfin comment l'absence de mame Toinon

Récapitulons ces événements: Lors du serment fatal de Fraülen, Haydée, dont il était épris, l'avait, elle-même, prié de l'emmener loin du magnat. N'écoutant que son amour, il avait trahi sa parole. Lavenay l'avait rejoint pour le punir. Frappé d'un coup d'épée que l'on croyait mortel, le marquis était revenu

Ces mots me firent éprouver un éblouissement, et le sang fouetta mes tempes avec violence. Êtes-vous sûrs de cela? On dit tant de choses! Mais qu'importe! dit Gaston de Lavenay, il faudra bien qu'elle se résigne

Seulement, le récit de Lavenay s'arrêtait au départ du marquis, de celui qu'il appelait «le traîtreIl avait failli

Celle-ci me conduisit dans la rue: Retrouverez-vous votre chemin? Parfaitement. Bonsoir. Et je regagnai la maison du magnat, l'on dansait toujours. Un homme était sur le seuil du premier salon quand j'entrai; c'était Gaston de Lavenay. On te cherche partout, me dit-il. Et Maurevailles prétend que tu as eu un rendez-vous avec la belle Hongroise. Je devins aussi pâle qu'un fantôme.

On leur montra les listes mortuaires. Aucune trace de Vilers. Et, il n'y avait même pas lieu de supposer qu'il eût péri sous un faux nom. Les défunts étaient tous de vieux soldats, connus de leurs camarades, et de l'identité desquels ces derniers pouvaient répondre. Décidément, s'écria Lavenay en revenant, décidément, Vilers doit s'être arrêté en route, car personne ne l'a vu.

Le premier se nommait Gaston de Lavenay, le second Albert de Maurevailles, le troisième Marc de Lacy. J'étais le quatrième. Le siège traînait en longueur et le maréchal de Belle-Isle, qui en avait commandé les premières opérations, s'était retiré au bout de huit jours, laissant simplement devant la place trois régiments d'infanterie, un escadron de Royal-Cravate et deux batteries de campagne.

Jusqu'au siège de Fraülen, nous nous étions aimés tous les quatre comme si nous eussions été frères. Nous allions ensemble au feu, nous ne nous quittions jamais. Cependant, en apprenant mon départ, une joie subite brilla dans leurs yeux. Je n'étais plus un ami, j'étais un rival. Je m'éloignais et leur laissais, croyaient-ils, le champ libre. Prends garde! me dit Gaston de Lavenay.

La réplique encore était difficile. Lavenay ne pouvait tenir en effet

La marquise de Vilers était tombée sur une banquette non loin de l'endroit le comte Gaston de Lavenay avait osé l'aborder. Seulement elle avait été rejointe par sa jeune soeur, qu'accompagnait Joseph. Tony alla droit

Mot du Jour

n'usait

D'autres à la Recherche