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Mis à jour: 24 juillet 2025
Et puis, il y a la voie diplomatique. Un gouvernement a tous les moyens nécessaires pour éclairer un pareil mystère; c'est son devoir strict et absolu. Ah! l'humanité, avec ses passions et ses haines, avec ses laideurs morales! Ah! les hommes, avec leurs intérêts personnels qui les guident! peu leur importe tout le reste.
C'est partout, sous des formes diverses, une recherche du rare, du raffiné, du brutal ou du poignant. Nulle joie, nulle sérénité. Ceux qui cultivent encore la fiction l'aiment perverse et troublante et ne sont peut-être pas les mieux portants. Les autres ont donné dans le réalisme, soit en haine du «bourgeois» et par amour du style plastique (comme Flaubert), soit par une morosité naturelle qui se complaît dans les laideurs et dans les brutalités (comme M. Zola), soit par la passion du moderne (comme MM. de Goncourt). On dit que ces écrivains se sont trompés, qu'ils ont plié l'art
Ce sourire, c'est la sagesse. Ce sourire, je le répète, c'est Voltaire. Ce sourire va parfois jusqu'au rire, mais la tristesse philosophique le tempère. Du côté des forts, il est moqueur; du côté des faibles, il est caressant. Il inquiète l'oppresseur et rassure l'opprimé. Contre les grands, la raillerie; pour les petits, la pitié. Ah! soyons émus de ce sourire. Il a eu des clartés d'aurore. Il a illuminé le vrai, le juste, le bon, et ce qu'il y a d'honnête dans l'utile; il a éclairé l'intérieur des superstitions; ces laideurs sont bonnes
On verra palpiter les fanges éclairées; Et briller les laideurs les plus désespérées Au faîte le plus haut, L'araignée éclatante au seuil des bleus pilastres, Luire, et se redresser, portant des épis d'astres, La paille du cachot!
En vain j'en ai douté longtemps... je suis fort laid. Un Faune n'est jamais très joli; mais il est Des laideurs... vous savez bien ce que je veux dire, Et ce n'est pas du tout mon cas. J'apprête
Les vraies misères, ce sont les maladies, les laideurs et la vieillesse; ni vous ni moi, nous n'avons ces misères-l
Nous savons que la terre est sans piliers ni dôme, Que l'infini l'égale au plus chétif atome; Que l'espace est un vide ouvert de tous côtés, Abîme où l'on surgit sans voir par où l'on entre, Dont nous fuit la limite et dont nous suit le centre, Habitacle de tout, sans laideurs ni beautés... Faut-il descendre dans le détail?
Peut-être!... Je vous effraie?... Moi, je ne me reconnais plus... Non seulement, il me vient l'horreur de notre vie régulièrement enserrée dans les liens que vous appelez des devoirs, mais l'horreur même de notre quartier de pauvres, des misères, des laideurs que j'y coudoie!... Claude, pourtant, tu les as aimés, tous ces pauvres que tu aidais
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