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Et, mourant de peur, rien qu'en songeant qu'il pouvait rencontrer l'Empereur, il craignait de se couvrir de honte, d'être mis aux arrêts devant lui, il comprenait et regrettait toute l'inconvenance de sa conduite, et se glissait les yeux baissés hors de cette brillante réunion, lorsqu'une voix de basse bien connue l'appela par son nom, et une main se posa sur son épaule: «Que faites-vous donc l

C'est justement ce que je fis: Oh! oh! Je fis même plus encore, je voulus me fâcher. Je remontai. Je m'adressai au franciscain lui-même. Je voulus lui remontrer l'inconvenance de son procédé; mais ce moine, tout moribond qu'il paraissait être, se souleva sur son coude, fixa sur moi deux yeux flamboyants, et, d'une voix qui eût avantageusement commandé une charge de cavalerie: «Jetez-moi ce drôle

Je l'entendis qui lui disoit: Voici la lettre de madame d'Albémar; appuyez auprès du ministre sa demande en faveur de M. de Serbellane. A ce nom, je me levai, je m'approchai de madame de Vernon, malgré l'inconvenance de cette brusque interruption; elle continua de parler devant moi, et j'appris, juste ciel! j'appris que madame d'Albémar avoit été le matin même chez l'envoyé de Toscane, pour obtenir, par son crédit, un sauf-conduit qui permît

Soit que madame de Méralec ne voulût pas paraître avoir compris l'inconvenance du lovelace de bas lieu, en se réservant de ne plus le recevoir, soit qu'elle eût remis

Il y a cependant des flacons sur table en ce moment, dit le père Entragues pour continuer la métaphore, sans s'apercevoir de l'inconvenance profonde d'un semblable entretien devant une jeune fille.

L'inconvenance d'exposer des avantages certains et le sang français pour des peuples peu dignes et peu amans de la liberté, qui, par caractère, habitude et religion, nous haïssent profondément. La ville de Venise renferme, il est vrai, trois cents patriotes: leurs intérêts seront stipulés dans le traité, et ils seront accueillis dans la Cisalpine.

Durant les trois premiers jours, Mlle Blanche avait pu rester maîtresse de soi; le quatrième elle n'y tint plus, et malgré l'inconvenance de sa démarche, elle osa envoyer prendre des nouvelles de Martial.

En cet endroit du dialogue, les assistants s'interposèrent et représentèrent aux deux parties l'inconvenance de leur conduite. En conséquence, M. Noddy déclara que son père était aussi respectable que le père de M. Gunter. À quoi M. Gunter rétorqua que son père était tout aussi respectable que le père de M. Noddy, et que, tous les jours de la semaine, le fils de son père valait bien M. Noddy. Comme cette déclaration semblait préluder au renouvellement de la dispute, il y eut une autre intervention de la part de la compagnie; il s'en suivit une vaste quantité de paroles et de cris, pendant lesquels M. Noddy se laissa vaincre graduellement par son émotion, et protesta qu'il avait toujours professé pour M. Gunter un attachement et un dévouement sans bornes. À cela, M. Gunter répliqua, qu'au total, il préférait peut-être M. Noddy

Ce qui augmente l'inconvenance, c'est qu'Herminie n'est pas seule: elle parle ainsi devant Vafrin, écuyer de Tancrède, qui est arrivé avec elle, qui vient d'ôter le casque du guerrier, l'a reconnu, s'est écrié: c'est Tancrède! et n'a plus rien dit depuis. Ce qui suit y ajoute encore. Elle s'en tient

Aujourd'hui, cette situation a cessé. Il ne faut pas se le dissimuler, la presse actuelle a le sentiment d'un immense pouvoir; elle n'a plus de crainte; elle sait qu'elle a brisé un pouvoir ennemi; elle a la confiance qu'elle aurait bon marché d'un pouvoir ami. Cherchez les traces de cette situation qui, bien qu'elle ait changé, exerce encore une grande influence. Les anciens journaux ont soutenu la lutte, il y en a d'autres qui sont nés du sein de la révolution de Juillet. Remarquez la différence qu'il y a entre ces deux classes de journaux. Je ne pense pas que les anciens journaux représentent aujourd'hui, comme ils l'ont représentée il y a six mois, l'opinion unanime de la France. Je ne crois pas qu'ils aient, avec le pays tout entier, cette parfaite sympathie, cette intimité qui les unissait, et qui leur a donné tant de force. Je pense qu'ils n'expriment que des opinions partielles, qu'on appellera faction, catégorie, mais des opinions qui ne sont pas l'expression de l'opinion nationale complète. Je pense aussi que les anciens journaux se trompent souvent, qu'il y a beaucoup d'erreurs, non-seulement dans leurs assertions, mais dans leur politique, que leurs conseils sont souvent mauvais, qu'il y a de l'inconvenance dans leur langage, de l'exagération dans leurs idées, du danger dans leur impulsion. Cependant, quand on les accuse d'être révolutionnaires, on a tort. Les anciens journaux, qui ont soutenu la lutte pendant quinze ans, n'ont point aujourd'hui un caractère révolutionnaire. Malgré les erreurs que j'y rencontre, les torts, les assertions que je leur reproche, je n'y trouve aucune trace d'anarchie; leurs doctrines ne sont pas anarchiques: je ne trouve pas qu'ils tendent au renversement de la société, qu'ils tendent