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Mis à jour: 26 juin 2025
En 1882, les neuf saladeros de Montevideo ont tué 217,984 animaux, qui ont produit 241,660 quintaux de viande, et les six autres saladeros situés sur l'Uruguay ont tué 520,300 animaux, qui ont produit 452,000 quintaux de viande. Cette viande, salée et séchée au soleil, est expédiée presque par parties égales au Brésil et
Complétement séparé du quartier général par l'inaction coupable de Robles, par la défaite de Duarte et, surtout, par les canonnières brésiliennes qui remontaient le cours de l'Uruguay; menacé tout
Tous ces patriotes illustres avaient pris les armes pour renverser une dictature qui entretenait la guerre civile sur le territoire de l'Uruguay, et qui ruinait 13 des provinces argentines au profit de la 14e, Buenos-Ayres.
Puis, l'année suivante, Orlando rentra dans l'épopée. Garibaldi était revenu de ses deux séjours en Amérique, entouré de toute une légende, des exploits de paladin dans les pampas de l'Uruguay, une traversée extraordinaire de Canton
On oublierait alors que le Paraguay est placé dans le cas de légitime défense, du moment où l'on attaque la République de l'Uruguay.
En 1852, éclata la protestation armée des provinces. Commandés par leur gouverneur Urquiza, les Gauchos de l'Entre-Rios, auxquels s'étaient joints un corps brésilien et le contingent de l'Uruguay, écrasèrent,
La première, et, peut-être, la seule clause sur laquelle il faudrait statuer, est la confirmation et la consolidation de l'indépendance de l'Etat Oriental de l'Uruguay, par les deux gouvernements qui lui ont donné indirectement l'administration qu'il possède aujourd'hui. Cette administration n'a été établie qu'en violation du traité de 1828, conclu sous la médiation de Sa Majesté britannique. Comme l'indépendance de l'Etat Oriental est une garantie géographique de la libre navigation des affluents de la Plata, le Paraguay qui ne peut exister comme Etat souverain, sans cette liberté, n'a pas pu s'empêcher de regarder l'occupation militaire de la République Orientale par le Brésil, comme une menace ou même une attaque dirigée contre sa propre sécurité et sa propre indépendance. Il a dû considérer comme lui étant destiné le sort qui était fait
Excipant de la réserve qui terminait l'article 4 du traité Mackau, Rosas prétendit que la sécurité de la Confédération était compromise par la présence de Rivera sur le siége présidentiel de l'Uruguay, et que «les véritables et durables garanties de paix ne se trouveraient que dans le rétablissement de l'autorité légale, violemment expulsée.»
Mais, d'un autre côté, ainsi que le dit excellemment M. Andrès Lamas, ministre de la République Orientale de l'Uruguay
Légation de la République Orientale de l'Uruguay. Rio-de-Janeiro, 28 février 1867. Monsieur le Ministre,
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