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Mis à jour: 30 avril 2025
Je continuai ma route, pensif, mais le coeur soulagé. Si j'avais vu ailleurs le contraste douloureux de l'opulence et de la misère, ici je trouvais l'alliance amicale de la richesse et de la pauvreté. La bonne volonté avait adouci, des deux côtés, les inégalités trop rudes, et établi entre l'humble atelier et le brillant hôtel un chemin de bon voisinage. Loin de prêter l'oreille
Il serait beau, dites-vous, d'être petit-fils d'une race qui commanda, et l'aïeul d'une lignée de penseurs; il serait beau que mon corps offrît l'opulence des magnifiques de Venise, la grande allure de Van Dyck, la morgue de Velasquez; il serait beau de satisfaire pleinement ma sensibilité contre une sensibilité pareille, et qu'en cette rare union l'estime et la volupté ne fussent pas séparées.
Alors, les bourgeois, premiers possesseurs des capitaux, comme les seigneurs avaient été les premiers possesseurs des terres, eurent en leur puissance la plus grande masse de la richesse nationale. Seuls propriétaires de tous les genres d'industrie, ils se placèrent aussi dans les rangs des propriétaires territoriaux. Alors les fortunes plébéiennes se classèrent comme celles des seigneurs, en petites fortunes, en fortunes médiocres, en grandes, en immenses fortunes. La richesse, l'opulence, le luxe, l'ostentation, les commodités de la vie devinrent communes
C'était un jeune gentilhomme de la noble maison de Landolfo d'Aquino. Il vivait dans l'opulence féodale au château de Rocca Secca. La passion de Dieu et de l'intelligence des choses divines, qui précipitait alors tant d'âmes dans la solitude, l'arracha, dans la fleur de son adolescence, au monde. On raconte que cette passion était si forte dans ce jeune homme qu'elle brisa avec violence tous les piéges tendus par sa famille pour le retenir, et qu'il poursuivit, un tison enflammé dans la main, une jeune fille d'une merveilleuse beauté que ses frères lui avaient fait apparaître dans sa chambre pour séduire ses yeux et son coeur. Entré dans l'ordre des Dominicains, il alla étudier
Est-ce que je suis née dans l'opulence? Est-ce que je n'ai jamais manqué de rien, pour avoir le droit de me montrer difficile?
MOI. Sans contredit; pourvu qu'il n'eût pas employé d'une façon déshonnête l'opulence qu'il aurait acquise par un commerce légitime; qu'il eût éloigné de sa maison tous ces joueurs; tous ces parasites; tous ces fades complaisants; tous ces fainéants, tous ces pervers inutiles; et qu'il eût fait assommer
(V) Il y a même des stupides, et j'ose dire des imbéciles, qui se placent en de beaux postes, et qui savent mourir dans l'opulence, sans qu'on les doive soupçonner en nulle manière d'y avoir contribué de leur travail ou de la moindre industrie: quelqu'un les a conduits
C'est l'opulence de la contrée; cela suffit pour vivre dans l'aisance relative, en y surajoutant le produit en nature du petit jardin, du champ réservé, de la vigne, du moulin, du verger en pente, qui donnent le blé de l'année, les pommes de terre, le maïs, les châtaignes conservées, les noix cassées par les maîtres et les serviteurs pendant les veillées d'hiver, sur la table solide de la cuisine; le vin, les légumes, les fruits, cueillis par la servante et les enfants, et soigneusement encaissés et visités dans le fruitier; tout ce qui est strictement nécessaire, en un mot, pour vivre largement et pour donner libéralement aux malades, aux infirmes, aux pauvres du village, aux mendiants errants et réguliers des villages voisins.
Adieu donc, Angiolina, que je t'embrasse encore! Oublie le vieillard, qui fut pour toi un époux passionné, mais, hélas! bien funeste. Conserve quelque amour pour ma mémoire; pendant ma vie, je ne l'eusse pas demandé; mais, aujourd'hui, en voyant toutes mes impressions mauvaises calmées, tu jugeras de moi, sans doute, avec plus de bienveillance. Du reste, de tout le fruit de tant d'années, la gloire, l'opulence, l'autorité, l'honneur et le nom, toutes choses qui forcent
De la mère et de sa vitalité dépendent la population et l'opulence de la colonie. Une mère chétive et souffreteuse fait une ruche pauvre et misérable. Avec une robuste pondeuse, un essaim populeux, des magasins regorgeant de richesses. Non, ce n'est pas un instinct mal adapté que celui qui fait la constante sollicitude, les soins empressés des abeilles pour leur mère commune.
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